Depuis
les montagnes, où la vie était rude mais
paisible, on pouvait voir les vallées verdoyantes s’étendre au loin. Attirés
par l’abondance des plaines, beaucoup, par ambition s’en est allée pour prospérer
, si bien que très vite, une ville
s’érigea en ces lieux fertile et attira
d’avantage de gens au désir de foisonner leur destin. A cause de cela tous les produits de la plaine ont pris de la
valeur et furent convoités puis séquestrés par une minorité au savoir faire pour
la seule raison de pouvoir manipuler les esprits, qui étaient
prêt à tout pour accéder à la manne des plaines dans la vallée.
La
ville était devenue un lieu de festivité,
aux enseignes belliqueuses insistantes et prometteuses, on y trouvait la
panoplie des plaisirs constamment en effervescences, mais aussi son coté
disgracieux de rivalité, que l’ambition semait
sur son passage.
La plaine fut
avec le temps ravagée par l’intense
besoin de la ville, si bien que les matières première finirent par marquer.
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Ils s'en
étaient allé piller d’autre contrée et
avaient ramené de la victuaille sur la planche, toute la ville était joyeuse
même les rats se sont engraissés de l’abondance, car, ils avait cette particularité de profiter de l’opportunités et de l’ignorance de ceux qui entaient occupé a
sortir de leur malencontreux destin. Le plaisir était de retour et personne ne
se posait de questions puisque tout allée bien pour eux, ils avaient tout en
abondance.
Mais là-bas,
loin de leurs yeux, postés devant les murs de leurs désespoirs, les victimes
devenues pauvres s'activaient à reconquérir des jours meilleurs. Les
gémissements et les complaintes dans l'air, montaient dans un tumulte
assourdissant et la voix de la joie, presque inaudible, appelait à travers les
brèches des murailles de désespoir, à ceux qui avaient des oreilles pour
entendre.
-Mais où est ton attention qui donne la vue pour voir ce qu’il y a à voir? Quand se fera
le silence de tes peines ? Jusque à
quand pleureras-tu sur ton sortilège ?
Après toutes
actions à combattre le mal subi, l’agresseur
des premiers jour, comme un renard rusé, insidieusement, celui-ci parvint à
réapparaître en bienfaiteur pour sévir sur la vie des pauvres enfants du pays, qui
étaient victime de leur tyrannies ces vagabonds étaient revenue, pour leur proposer une solution à leur tragique
condition, inondant la place publique de promesse.
Mais la joie, toujours méconnue des foules, dans sa
bonté par les brèches de la carapace, s’adresse à ceux qui avaient des oreilles
pour entendre.
-Quelle est
cette agitation en ton cœur qui a pris peur de ne pas pouvoir prendre part au
trésor du voleur, a-t-il séduit ton cœur, que tu sois esclave du désir que tu
as puisé dans leurs promesses et que tu en as fais le tien?
Ressaisi toi,
car renards, rats et voleurs, adorent la mélodie de ton désenchantement, leur
force se trouve là, c'est un terrain de prédilection que tu leur donnes là, pour
qu’ils existent et où s'alimentent leurs belliqueuses intentions.
Celui qui
les combattra par l’épée mourra par
l’épée, mais celui qui répondra par les actions que la liberté apporte, ne
fournira plus de sol sur le quelle pousse
le fruit des désirs.
Qui est
l’ennemis, si non celui qui désir le plaisir sans se soucier de la
joie et sa paix?
La beauté de la
vie paisible est détruite par les actions de celui-là qui agit dans la compulsion
inconsciente de ses instincts.
Guy ROGER
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