Sois toi-même la vie que tu voudrais voir exister, est un vieil adage que peu pratique, la plupart sont en quête d'une vie idéale, au lieu de créer les conditions afin de changer la donne... Il y a une tradition qui perdure c'est l'espoir qu'un miracle se produise et fera disparaître le quotidien monotone pour y mettre de la gaieté et chacun y va de son gré pour atteindre son rêve. Cependant, la vie qui existe d'instant en instant est la seule qui nous est accessible, mais il semble que son aspect imprévisible soit la cause de nos tracasseries pour faire perdurer la zone de confort que l'on bâtit d'espoir. Comment vivre la vie sans rêver d'une vie.
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Etre présent

Être présent est devenu la complexité de celui qui est occupé à vouloir atteindre son but, il est obnubilé par toute la stratégie d'y arriver, l'esprit est dans l'affairement d'une multitude de pensées qui lui indiquent la marche à suivre, ce qui fait que la présence n'est pas celle de soi, mais de la pensée qui s'attribue le rôle du soi.

Si comment développer la maîtrise de soi t'intéresse, clique sur la vidéo ci-dessous pour en savoir plus 

se libérer de l'état mouton

Il s'agit ici, de rester libre de ses propres choix, sans se faire avoir par la promesse d'une sécurité alléchante qui accapare l'esprit. Les règles qui protègent la zone de confort nouvellement acquise font l'objet de l'activité qui emprisonne l'esprit. Toutefois, être capable de dire non aux illusions qui donnent de la sécurité, est dans le pouvoir d'être soi qui de par sa nature est invincible à tout changement. Rester soi-même est la plus haute forme de sécurité que l'on puisse avoir afin de traverser l'existence sans se blesser.

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la littérature est un outil de réflexion, quand elle est utilisée sans l'acquiescement d'un esprit en demande d'idée réconfortante, car se dévoile en lui la réponse. La réponse à tes manques de joie, n'est pas dans une méthode aussi élaborée soit-elle, mais elle vient de ta propre expérience qui laisse émerger la vie depuis ton sein. Les livres et/ou celui qui explique peuvent inciter l'intention d'un regard intérieur, mais personne ne pourra le faire à ta place. Alors lis, mais ne croire en rien. L'auteur propose des sujets de méditation et des réflexions hors des sentiers battus.

Découvre Guy ROGER  sur Son site  https://www.zoneliberee.com/

re bonjour après le silence

Dernièrement j'ai repris de l'activité de bloguer,  j'ai beaucoup à partager avec toi sur la vie notamment les événements qui font rages dans le monde , je poste régulièrement des vidéo et des commentaire, j'ai besoin de tes réactions, merci d’être présent  à bientôt.... reste en contact

la floraison de la conscience

il y a une ouverture de conscientisation qui se joue exponentiellement, c'est une vague qui élève dans grâce ceux qui ne se laissent pas accaparer par les peurs qui se jouent à travers les événements sur toute la planète ; on peut voir les signes de la panique à travers la pression qui s'exerce sur ceux qui ne croient plus à leur condition de moutons. Car ils réalisent, qu'ils sont maîtres de leur vie et qu'il n'y a pas d'autorité au-dessus de leur pouvoir intérieur. 

Tout bien que l’on conçoit constitue une restriction

Il est important de rendre compte que le mal ne vient pas de celui qui le pratique, mais de celui qui juge ce mal, afin d’imposer ce qui est reconnu comme étant bien. Celui qui décrète le bien comme étant la loi que l’on impose, est lui-même dominateur au-dessus des autres. Et c’est cela qui est néfaste pour l’humanité, car les esprits se rivalisent entre ce qui est proclamé être conforme à l’entendement ou pas.
Ce que j’entends ici, c’est que l’affront est la pratique qui vient d’un esprit enrôlé dans le programme que projette la pensée. L’esprit étant en manque, l’action est compulsive, cela, afin d’accéder à un répit immédiat de la condition qui se joue.
Le monde chaotique que nous connaissons vient de celui qui juge, car il instaure les règles qui conditionnent les esprits à adopter des conclusions. Ce genre d’esprit prône le comportement acceptable issu de la norme établie que prône toute une volonté collective. Ce qui alors perpétue la donne d’un monde divisé où chacun se confine à son petit univers en se rivalisant les uns aux autres afin de défendre l’intérêt individuel. Et c’est ici une activité qui mortifie le fonctionnement de nos sociétés en dérive à cause de son manque de rationalité.

Cela peut sembler inimaginable que l'on puisse concevoir la vie autrement qu'à travers nos peurs. Notamment la peur de ne rien être aux yeux de ceux qui ont réussi. Alors que la vraie vie ne vient pas du sentiment d'avoir réussi comme on nous l'a vendue. Elle vient de la simplicité d'être soi-même, sans les allures que l'on se donne pour avoir pu atteindre le bien-être éphémère que l'on trouve dans la profusion de plaisir que l'on s'octroie. Pour résumer, vivre la vie est source de joie et non source de plaisir car dans ce plaisir il y a  la tracasserie garder sa pérennité

La tracasserie est le résultat d'un cerveau accaparé, hors celui-ci n'est efficace que s'il est utilisé pour faire valoir l'intérêt commun. Alors, étant libre de toute tracasserie, il est l'instrument de ce qui est au-delà de la demande égocentrique.

la sécurité du bien-être est une illusion

                               AU CHEVET D'UN MONDE MALADE, LA COMPASSION


Alors que le système s’effondre inexorablement peu importe la raison de sa chute. De toute façon son sort est tracé, car il n’est tout simplement pas en accord avec l’ordre et l’harmonie que la vie prévoit. Cependant, il y a une émergence collective qui tend à revenir à la vraie raison de l’existence et laisse derrière elle toutes les illusions d’une vie, celle dans laquelle on obtient du bien-être à travers le confort que le plaisir matériel pourvoit.
Mais beaucoup sont ceux qui résistent encore à lâcher leur acquis éphémère et renie la porte qui s’ouvre à eux afin de rentrer dans une nouvelle ère. C’est seulement ceux et celles qui sont déçues par l’appât du gain et qui se rendent compte que leur rêve est éphémère et qui s’arrête assez longtemps pour méditer. En effet c’est en prenant le temps de se pencher sur la raison de l’existence sans se laisser distraire par la frivolité de ce que propose le monde, que l’esprit revient à la raison. C’est le genre d’esprit qui ne se laisse pas avoir par l’illusion de l’idéal qui se trouve dans la course à la réussite.
C’est alors que cette porte vers la dimension d’une vie au-delà de ce que projettent les pensées, est accessible. C’est celui qui laisse derrière lui les promesses de jours meilleurs, qui est capable de la traverser, car il sait observer les faits. La réussite qui lui, a été vendu comme étant l’idéal à atteindre, se révèle à lui comme étant la duperie de toutes les promesses qu’il a pu se faire à lui-même.
La remise en cause de ce qui se jouait transforme à jamais la perception, l’illusion étant débusquée, plus rien de ce qui animait la croyance a du sens.
L’individualisme où chacun regard midi à sa porte n’a plus de sens. Abandonner toute activité pour atteindre le gain d’un meilleur état d’être, est ici ce dont il s’agit. Cela, afin de se rendre service les uns les autres dans la solidarité tout en mettant l’intérêt individuel en berne.
La vie ensemble est rendue possible par l’action de celui qui abandonne son engouement pour être satisfait. C’est là, la transformation de l’individu libéré de ses instincts compulsifs et c’est lui qui pourra agir au-delà des limites que ses a priori lui imposent. Et il est évident que cette liberté implique l’abandon de la zone de confort organisée par l’activité égocentrique. C’est le plus grand amour que l’on puisse manifester. Ce Don De SOI, est la fin de l’activité de paraître à travers l’image que l’on se donne. De cette fin se manifeste  à travers celui qui s’est dépouillé de ses apparences, un bien-fait pour l’humanité, une telle action n’est pas impactée par la demande égocentrique qui attise la déstabilisation de l’ordre naturel des choses.
Toute action compulsive et intempestive, est l’activité dans laquelle l’ego retire son salaire afin d’exister. Son pouvoir est octroyé par ce que l’inconscience permet de faire exister, cette entité qu’est l’ego est alors l’illusion qui enrôle l’esprit à adopter ce que la pensée prône comme étant salutaire.

La liberté libérée

Que ta liberté te soit rendue sans délais. Que ta prison dorée soi vue d'en haut et que tu réalises la magie de ton survol au-dessus de ton destin de larmes. Que ton envolé vers les contrées inconnues te fait voir la supercherie de ton enclave et que la vie inonde tes jours mélancoliques et monotones. Que te revienne le goût de la beauté que tu embrasses . Et que son parfum laisse sur tes lèvres les mots de sa magie, qui donne à l'oreille de celui qui entend la passion de la créativité. Et que les endroits sans vie fleurissent de cette joie. Liberté ! voilà la force de ta vie elle ne laisse jamais le pays dans le doute... Les instants en sont lavés. Que la clarté, soit roi en ton sein de sorte que quand résonne le glas des jours sans pitié, tu connaîtras l'issue qui mène en dehors de la cohue, là où tu traverses l'existence sans que rien ne t'ébranle

La liberté est ton pouvoir de traverser l'existence, sans que rien ne t'ébranle.

La non-action

La non-action
Pour celui qui accepte de faire face à ce qu'il est vraiment sans se donner d'apparence, celui-là détient la possibilité de comprendre la nature de ce qui se meut en lui. Il peut constater toute l'activité compulsive qui se joue et ainsi appréhender le désordre que cela suscite. C'est là, la nature d'un esprit en paix, il ne s'active pas afin de cacher ce qui est désordonné et c'est dans cette non-action que se trouve l'état qui est de nature harmonieuse. En effet, celui dont l'esprit est dépourvu de tout bavardage que la pensée véhicule, celui-là est libre de toute action compulsive et répétitive.

De la relation  à la communion 

Une dimension d'éveil spirituel à explorer et ne pas se laisser avoir par les histoires que l'on se raconte. Rien de plus simple que de vivre l'instant qui existe.

Les enfants et l’éducation

https://www.youtube.com/watch?v=V1O3faGihsY


Les enfants et l’éducation

Ne pas se laisser avoir par les promesses de bien-être requiert de l'attention


je refuse de croire que la vie est un champ de bataille où la joie sera au bout , car plus  nous cherchons à résoudre  les effets de nos manques de joie  plus nous sombrons  vers l'insatisfaction. Ce que nous trouvons pour soutenir un semblant de joie étant éphémère  l'action est de garder l'illusion vivante.