Introduction
La musique de Guy Roger est l’évènement marquant d’un tournant de sa vie, ou les pics d’une vie mouvementée ont mis en lumière un regard différent sur l’existence où tout est remis en cause.
Depuis la logique d’un monde accepté où l’on se contente de faire valoir son droit, sans regarder les conséquences qu’elles ont engendrées autour de ce centre d’aspiration… Qui de toute évidence est la cause de tous les dysfonctionnements dans les relations humaine.
Une musique qui enchante, qui ne laisse pas indifférent et qui dérange parfois l’ordre établie à son plus haut niveau, c’est-à-dire la fondation même sur laquelle prend formes toutes nos réactions suivie de nos actions.
S’il y a une barrière à la liberté, elle se trouve en soi ou nous sommes les seuls responsables de nos peines ou de nos joies.
Depuis un studio d’enregistrement à
l’ile Maurice avec quelques musiciens, tout a pris tournure, les
mélodies sont déjà créées avec leurs particularités, sur mon piano dans
l’intimité de ma solitude, puis au studio nous l’habillons d’instruments
divers pour harmoniser la voix.
Pour cela je remercie :
Geraldo Pierre, avec son doigté de bassiste extraordinaire, et son intuition au piano.
Mathieu Carosin, aux percussions, un vrai capitaine à la barre de sa batterie.
Joanna Gentil, prof de violon au conservatoire, qui à ajouter un parfum de gaité aux chansons.
Hans Mallet, le guitariste avec son style de surprise, qui tire sur ses cordes, aussi vite que son ombre.
Edmée Mamotte, qui a interprété dans une voix ravissante la beauté « des plus belle fleurs » et « la haut sur montagne ». Les chœurs qu’elle a fredonnés en studio se répètent maintenant sur beaucoup de lèvres.
Mée Burzoo, qui aussi nous a emprunté sa magnifique voix, pour « quel est ce monde » et « j’ai tout laissé ».
Un remerciement aussi à toute l’équipe derrière la scène, Jean Pierre Villeneuve, Désiré Mamotte, Bernard Pontil et Bernard Mallet.
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