L’auteur propose une séance de dédicace de son
ressent ouvrage DESTIN à DEJOUER dans le sud à la librairie autrement
rue Désiré Barquisseau à St Pierre ce SAMEDI 1 décembre un livre
passionnant à ne pas rater... une autre dédicaces se fera aussi à la
librairie autrement rue Juliette Dodu à st Denis le SAMEDI SUIVANT 8
décembre à 15:30
Si vous n'êtes pas à l'ile de la Réunion demendez une copie en vous faisant connaitre sur ce lien http://www.facebook.com/guyrogerzonelibre?ref=hl
Le blog de ceux qui se posent des questions fondamentales sur l'existence, à savoir s'il y a une issue à la médiocrité humaine et quelle est la responsabilité de chacun d'entre nous.
mercredi 28 novembre 2012
De quoi parlent mes livres TEXTE
Le profil qui se dresse de mes écrits est le résultat de l'émergence d'un
monde intérieur, qui, timidement, mais surement vient brouiller la stabilité
des concepts recueillis et acceptés par la logique de
l'habitude de toute la caractéristique de l'existence.
Le cheminement de mes réflexions m'a conduit à considérer les lieux
sauvages, plutôt que les sentiers battus d'une vie logique et rassurante de
sécurité. Je me suis aperçue que l'issue proposée était
vide de sens, car elle me laissait dans une insatisfaction, qui fut le
déclencheur de mon désir passionné à comprendre. J'ai appris à observer autour
de moi, sans jugement toutes les aberrations que comporte l'activité humaine,
la brutalité des violences et l'immoralité d'une course
vers la domination pour accéder à l'envie de se faire plaisir et de plaire aux
autres.
J'ai accepté ainsi l'évidence que ce que j'observais été quelque chose qui
se passait en même temps au sein de mon individualité comme un seul mouvement,
j'étais cela et cela était moi, je partageais avec le reste des hommes la même
conscience.
Néanmoins, dans la passion de ma quête téméraire la question résonna ainsi
dans toute mon attention, mais qui suis-je, y a-t-il autre chose derrière toute
l'activité débile de ce moi ? Je pus prendre du recul
pour avoir un regard sur la vie qui fut la mienne et je me suis aperçu que tout
ce que je véhiculais dans mes actions et dans mes réactions, était toute une saga de projet à résoudre la douleur
des batailles quotidiennes.
Je n'avais aucune idée de ce qu'était la vie en dehors du monde que je m'étais construit. Je ne me projetais que sous l'influence de mon éducation, ma tradition, ma religion, mon enseignement et de ma propre expérience, puis après avoir fait le tour, répéter à nouveau les mêmes modes.
Les poèmes furent l'expression de la beauté qui contredisait le mal-être que je vivais, elles sont venues à moi, quand je passai du temps dans la nature et où sur les bords de la mer, à être guéri par leur beauté à travers laquelle je trouvais de la félicité devant leur vérité incontournable. Le titre Urgence d'aimer est alors pour moi la logique d'un monde a la dérive, sans beauté, ni amour, qui, à ma vue est devant une inacceptable raison d'être. Pour cela, dans cette ouvrage je porte à l'attention du lecteur, l'importance de voir la réalité de sa propre condition humaine, plutôt que de désiré être ce qui lui est demandé d'être par la logique commune.
Là, se dessine alors pour celui qui veut bien s'y
pencher l'aspect conscient de ses tendances, ses dépendances et ses craintes,
qui restent habituellement dans l'insouciance du regard préoccupé à jouer le rôle
de paraître devant l'exigence collective.
Je préconise aussi que la
perception du désordre observé permet l'apparition de l'ordre, que la seule perception
du mensonge permet à la vérité d'exister, travailler dans le but d'atteindre
une virtuosité quelconque est une perte de temps, l'amour on le sait ne
s'invente pas.
Mon second livre Destin à déjouer reste dans le fil de la pensée du premier sauf que le sujet est déployé en arborescence dans des domaines, couvrant la complexité de l'existence telles les relations et les pièges des modes de conditionnements qui conduisent à l'illusion et à la misère humaine.
Comme la pensée fataliste a déjà scellé le destin au sort de la médiocrité humaine je viens ici dans cette œuvre découdre du contraire, à savoir que l'émergence de l'être authentique, libre des entraves de la peur qui l'ont rendu esclave, a la faculté d'un grand pouvoir à faire de cette vie son paradis d'infinies possibilités, à être partagé avec ceux de bonne volonté.
dimanche 25 novembre 2012
Se libérer de l'emprise de la peur TEXTE
Toutefois,
un engouement autre que le pouvoir de satisfaire tous les désirs qu'on nous a
mis dans les pattes, nous habiterait… Si chacun, nous étions prêts à renoncer à
la futilité des besoins irréels.
Ainsi toutes les actions que nous ferons n’auront pas besoin de l’autorité d’aucun maitre dictateur, qui nous dirons comment et quoi faire pour être heureux d’après leurs promesses mensongères. Nous serons nous-mêmes créateurs d’un monde nouveau, mais le carnage des décennies est incrusté en nous, nous avons besoin de comprendre ce qui nous est arrivé, voir la raison qui nous fait vivre ainsi nos folles courses à trouver un contentement dans la lutte, le stress et la frustration qui indubitablement amène avec eux leur lot de violences.
Ainsi toutes les actions que nous ferons n’auront pas besoin de l’autorité d’aucun maitre dictateur, qui nous dirons comment et quoi faire pour être heureux d’après leurs promesses mensongères. Nous serons nous-mêmes créateurs d’un monde nouveau, mais le carnage des décennies est incrusté en nous, nous avons besoin de comprendre ce qui nous est arrivé, voir la raison qui nous fait vivre ainsi nos folles courses à trouver un contentement dans la lutte, le stress et la frustration qui indubitablement amène avec eux leur lot de violences.
De ce fait, chacun de nous devrons agir à rétablir notre authenticité en mettant de cote l’idée de ce que nous devrions être où auraient dû être, par peur de… pour le plaisir de ceux qui gouvernent les sociétés de consommation et de tous les moutons qui y contribues.
Et tant que nous sommes pris dans les rôles de la vie que nous jouons, nous ne regarderons pas vraiment les choses tels quels sont, mais comme nous avons appris que nous aimerions quel soit.
Avec
tout le martellement pour faire concevoir le mensonge comme une réalité, il
règne aujourd'hui l'anarchie d'une multitude de voies qui sont les théories de diverses
façons d'y arriver, établies par un tour de
passe que la pensée a pu mettre à nouveau en place, l'affaire des
incongrues en quête de sauveur. Là encore le silence reste inconnu du penseur,
l'homme erre toujours dans le désordre de son propre affairement.
Il n'y
a rien de mystérieux à trouver au-delà de l'illusion que crée le mensonge, mais
si tu insistes à te rassurer et à ne pas voir l'illusion de ton histoire, alors
ta vie sera encore prisonnière de la quête de quelques sordides languissants espoirs de l'idéale et où mystère et confusion régneront encore.
mercredi 21 novembre 2012
Tuer la beauté CITATION
Tuer la beauté est un acte de l’ignorant
dont ses actions seront
le signe de sa fin, l’influence de tout ce
désordre parle en prophétie infernale qui est la suite logique du véritable
carnage que la pensée dans l’ampleur de son désordre, ira jusqu’à atteindre l’harmonie
de la galaxie et ailleurs. Néanmoins, la paix des lieux silencieux est l’antidote de l’angoisse des jours sombres à venir que
la pensée cultive. La force et la sécurité seront
à celui qui s’éloigne du syndrome hypnotique du brouhaha de la pensée.
lundi 19 novembre 2012
les horreurs de la guerre TEXTE
L’ironie c’est que, l’horreur des causes de la haine et
de la violence que l’on voit et qu’on
n’accepte pas est aussi ce que nous produisons quotidiennement dans nos sociétés,
dans nos tendances et nos
comportements à
vouloir gravir l'échelle
sociale, nous voulons pour nous et pour nos enfants une meilleure
situation, une meilleure
position, où là on est prêt
à
renier la déontologie et la
valeur morale afin d’y parvenir. Nous nous amassons le plus possible de
bien pour nous sentir en sécurité, comme le font
tous les pays imbus de pouvoir pour
frimer leur force à
travers toute l'image que le nationalisme converge.
Ainsi le petit pauvre veut devenir riche, le petit riche veut devenir plus riche et les plus grands riches font la guerre à tous les autres pour garder leurs positions. Nous voulons tous, dû à la propagande de notre éducation gagner du terrain pour la dominance matériel et idéologique, pour se montrer différant plus intelligent, plus capable. Nous argumentons de notre notoriété dans une bourgeoisie arrogante avec ceux qui sont encore loin derrière. Nous trouvons cela normale nous appelons cela la vie, mais ce n’est que la violence de nos propres désirs de réussir qui crée de la division et fait aboutir la guerre du pouvoir sur l’autre.
Ainsi le petit pauvre veut devenir riche, le petit riche veut devenir plus riche et les plus grands riches font la guerre à tous les autres pour garder leurs positions. Nous voulons tous, dû à la propagande de notre éducation gagner du terrain pour la dominance matériel et idéologique, pour se montrer différant plus intelligent, plus capable. Nous argumentons de notre notoriété dans une bourgeoisie arrogante avec ceux qui sont encore loin derrière. Nous trouvons cela normale nous appelons cela la vie, mais ce n’est que la violence de nos propres désirs de réussir qui crée de la division et fait aboutir la guerre du pouvoir sur l’autre.
Et quand nous subirons
les effets des obus de cette guerre à nos portes, nous irons crier sur les
toits pour que vienne une autorité pour nous sauver du malheur qui s'abat sur nous.
Sommes-nous capables de voir nos propres demandes à la guerre, qui s'engage dans nos propres relations quotidiennes a cause des violences, des ambitions, des frustrations et des angoisses ? Où irons-nous trouver refuge dans quelque sécurité pour se voiler la face en attendant que quelques hommes politiques véreux trouveront une solution pour notre détresse ?
La réaction qui prendra forme devant ces questions fondamentales sera soit : qu'on continue de crier au scandale, ou soit : nous voyons la source du scandale et cette perception sera la cause de la fin de sa culture en notre propre fort, cette perception sera l'intelligence qui se propagera dans ton entourage puis "peut-être" s’élargir dans le monde (à toi d'ajouter le "certainement" au lieu du "peut-être")
lundi 12 novembre 2012
samedi 10 novembre 2012
Au-delà de la conscience TEXTE
Au-delà
de La conscience
Que se
passe-t-il vraiment que nous ne discernons pas
Nos sociétés sont-elles vouées à
l'angoisse d'une vie aux lendemains incertains ? Y a-t-il un complot qui nous
garde préoccupés à rechercher interminablement des jours meilleurs, y a-t-il
une menace qui contrôle notre précarité pour faire perdurer notre angoisse du
manque? « Et à qui profite le crime. » La réponse est
évidente, il y a une volonté de fer qui accentue son poids pour l'acquisition
d'un pouvoir sans précédent sur la grande majorité, qui se retrouve alors grisée par ce désir de vouloir changer
sa condition d'oppresser. L'histoire nous mène toujours à cette ultime montagne
vertigineuse, où la révolte est inévitable et se termine dans des bains de sang
où finalement personne ne trouve, ni refuge ni tranquillité. Et quand il y a
cette inquiétude grandissante de l'état de nos gouvernements de plus en plus
corrompus et assoiffés de pouvoir, nous nous appliquons à vouloir défaire toute
l'absurdité de ce qui a été mise en place, en
brandissant des drapeaux sur les places publiques pour manifester notre
indignation. Tous ses aberrations de la machine que nous avons
tous participé à mettre en place font partie intégrante de notre
complexité intérieur des actions, réaction du système émotionnelle.
C'est toujours
le même processus qui fait le facteur d’une demande aux changements. Quand il y a cette
insatisfaction qui règne au sein de la confusion que nous vivons où tous tirent vers soi le gain du plaisir
pour pacifier le manque qui semble donner une sécurité réconfortante. Aujourd’hui
rien n'a changé, cela a été ainsi de tous les temps, depuis les sociétés
tribales, passant de Jules César aux dirigeants de notre époque. Toute cette
activité changeante apprend l'homme à craindre
l’avenir, il a toujours voulu
croire qu’il y a une paix à trouver en s’enferment dans des forteresses de
confort. Il veut surtout que la route vers l’accomplissement de son désir soit
libre, pour accéder au rêve qu'on lui donne de rêver. Mais l’ambition laisse derrière un désert sous les
traces de son piétinement.
L’homme a
toujours été angoissé par le temps qui passe et dans son affairement il est
toujours à la recherche d’une autorité qui apportera une réponse à son angoisse
de ne pas savoir. Il n'a plus la capacité de réfléchir seul, il ne se dérange
pas de sa position de confort dans laquelle il a été moulé, il accepte ce qui
se dit. Il dépense plutôt son énergie à combattre pour pouvoir parader dans ses
idéaux qui lui procurera bien être. C’est ainsi que va l'activité des hommes sur
la terre, ils n’écoutent que le brouhaha de leur propre entendement et ne
connaissent pas le silence de leur cœur.
Ainsi nous avons en nous ce processus
qui a fait que nos dirigeants se sont infiltrés et ont bâti leur empire sur
notre bon vouloir, nous sommes devenus obéissants à leurs lois, à leurs règles
et à toute l’autorité, qui fait que ce petit monde marche comme ils
l’entendent. En dépit de protestations, les choses ne changent pas pour autant,
les guerres se font quand même pour des raisons ambigües, ou le pouvoir
manipulateur reste la seule raison. Retirant ainsi des enfants à leur mère dans
des déchirures de profonde tristesse et de souffrance, ou la haine s’active et
ne laisse plus la trace du raisonnement dans son sillage.
Le regard sur ces faits incontestables, n'est pourtant pas ici une connaissance pour prendre parti dans le but de vouloir une action pour défaire cette tragédie. Cela a été déjà l'intention de toute une décennie de générations qui ont abouti qu'a créé davantage de problème à résoudre.
Ce désordre doit
être perçu dans son rouage profond pour trouver les raisons fondamentales de la
décadence qui existe dans nos sociétés. Une vision objective et nécessaire, car
autrement elle entraine le regard de celui qui en souffre à agira dans la violence et
la haine. Il se perd alors dans le mouvement interminable de la pensée qui
réagit et se protège de la souffrance en inventant d'autres guerres, la maladie
reste toujours lattant dans l’ombre prés à rebondir.
Il est donc
nécessaire d'observer le mouvement du phénomène au sein de notre conscience où
cette activité a pris corps pour pouvoir appréhender l'ampleur de son impact
sur nos réactions. Car comme avant de se
manifester à l'extérieur dans le monde d'elle a commencé à se manifester dans
les effets quotidiens de la vie de chacun d'entre nous. Au sein de nos
relations, depuis l'activité de nos propres consciences. Nous avons tout
simplement fait un monde qui ressemble à ce que nous sommes profondément.
Si l'attention
est distraite à l'observation que nous faisons, par la réaction que nous
mettons en œuvre. L'observation n'est alors plus neutre et celui qui observe se
retrouvera identifié aux réactions. Des effets apparaîtront, se propageront
nonchalamment à l'insu d'une attention en berne et perpétueront le genre de vie
que nous connaissons.
Nous ne
réalisons pas pour la plupart le pouvoir de l'illusion, quand tous nos sens
sont assujettis aux plaisirs, il y a identification et une reconnaissance est
attendue dans la relation. Il y a frustration et agonie de solitude à cela.
Ainsi la
distraction des faits réels, crée la chaine de l'escalade d'une vie de détresse
et de confusion, à jamais séparé de la beauté qu'il y a
dans une observation sans partie prise, sans aucun mouvement de la part de
celui qui observe.
Nos sens ont
accumulé tant de connaissances et sont maintenant obtus dans leur demande et ne
savent pas considérer un changement en dehors de ce que la connaissance a
prescrite sur les registres de nos conclusions. Le profil de son impact est
déroutant vu l'ampleur du phénomène que nous pouvons chacun percevoir au sein
de nos propres vies. Ainsi la plupart s'adonnent à une déconcertante attitude
de fatalité où tout se perpétue inexorablement, tel un
ruisseau grandissant en fleuve au fur et à mesure des générations.
Dans les
mouvements de nos sociétés comme dans nos vies intérieures, voir la réalité
derrière le regard corrompu par le faux, relève du miracle. Cette approche
demande une terrible et sincère attention à ce qui se passe vraiment. Comme l'illusion domine la perception de celui qui
observe, son regard doit être balayé avant tout de son propre désir de voir.
Si le fatalisme
est la descente vertigineuse vers l'abime où tout se désagrège de clarté, alors
dans ces lieux, même le raisonnement le plus perçant sera bercé d'illusions.
Nous nous sommes toujours donné des issues
de secours à la possibilité de l'impossible. L'enseignement qui est propagé est
la propagande de toujours mettre des barrières d'interdiction aux frontières de
nos connaissances, ainsi nous nous disons à nous-mêmes, « campons sur la vérité
des conclusions et des expériences»
alors nous nous contentons seulement de miettes, nous nous satisfaisons de
conclusions hâtives.
Il y a dans
l'activité des hommes une sorte de fuite soumise à l'angoisse de rencontrer un
vide. Ce manque que nous ne voulons pas voir en face à cause de la détresse et
de la souffrance qu'il crée. Pourtant, tout
engagement à le combattre que nous prenons les rend plus menaçant, nous allons
donc nous assurer d'une sécurité qui soit pérenne et à cette activité nous nous
y affairons. Nous déballons toutes sortes de théories, ce qui produit un
brouhaha de confusion et dans cette course quotidienne à nous sécuriser dans les poursuites sans
fin à l'assouvissement de nos désirs, nous retirons très peu de joie. Le sens
de l'existence est rendu ridicule, car nous sommes alors insensibles à la
beauté du silence, il n'y a pas de répit à l'interférence du brouhaha que la
pensée impose.
Nous recherchons
toujours dans l'agitation de toutes nos activités, la compagnie de nos amis, de
nos compagnons. Nous sommes dépendants de toute l'agitation de nos quotidiens
pour un peu de vivacité à nos vies monotones. Il y a cette constante activité
pour arriver à résoudre cette insatisfaction d'être dans le doute, dans la
solitude, dans le désarroi d'une situation qui nous échappe, nous voulons
pouvoir contrôler à notre avantage. Nous voulons que quelque chose de magnifique nous arrive, nous le cherchons à travers plus de
connaissances, dans quelques idées exotiques qui pourraient combler le manque
et l'ennui qui nous instigue. Nous voulons remplir nos vies de choses qui nous
feront oublier la médiocrité de ce que nous vivons.
C'est cette angoisse d'être habituellement vide de sens, même si
nous nous entourons de confort et de réconfort tout cela revient, au moment où
nous nous y attendons le moins.
Ainsi Chercher
la lumière n'a aucune valeur en soi, si les ténèbres dans lesquels nous sommes ne sont pas rendues visibles par notre propre lumière.
Faire face à la réalité de cette vie et de tous les mensonges quelle comporte, est le pas de la libération de
nos esprits vers une vie saine.
Les idéaux et les croyances sont
communes à la vie de nous, les hommes, à vouloir débusquer une réalité autre
que ce qui est vécu. Ainsi les quotidiens deviennent un affairement à la course effrénée de choses qui devraient être plutôt que ce qui
se passe vraiment. Nous passons notre temps à vivre pour modifier la vie qu'il
y a, en une vie qui devra exister plus tard, ne nous apercevant pas que la
seule vraie vie à vivre est la réalité de maintenant qui ne peut pas être changé.
Les idéaux et les croyances nous projettent dans des futures romanesques d'un
monde meilleur, ou l'attente et l'espoir se convergent
pour donner de la substance neuronale et encombre la vision de celui qui côtoie
le moment présent.
Dans l'ambition que nous aspirons, à
poursuivre le contraire de ce que nous n'aimons pas être maintenant, il y a la
fuite d'un état vers un autre, ce qui crée toute une activité de la pensée, qui
s'activera à mener à bien cette mission. Cette activité de l'ambition est l'activité
principale de la conscience de chaque être humain, un produit de la conscience
de toute l'humanité. Qui fait de l'expression de nos sociétés le reflet du soi
dilué dans la masse. Mais par la nature même de toute l'éducation
et les expériences que nous avons capté au sein de cette conscience
vieille comme le monde, nous avons appris à nous considérer, unique. Et donc
cela donne un sens d'importance à la personne à laquelle nous nous imaginons
être, créant ainsi la limite de nos propres perceptions. Vient alors la peur
d'explorer au-delà de cette compréhension prescrite de l'individualité, faisant
de l'individu le facteur de séparation, divisant les hommes à l'isolement avec
des barrières de plus en plus hautes d'idéalisme contre toute atteinte d'être
soumis à la souffrance. Ainsi, perdu dans son petit univers, il perd la réalité
de sa vraie nature, qui est la joie de l'unité, sa vraie grandeur.
Les barrières sont les illusions que la
pensée fabrique, elles donnent tant de réconforts, nous ne voulons pas savoir
que cette réalité n'a pas de matière ni de fondements factuelle. Nous refusons
que le confort de cette idée ou de cette croyance soit dévoilé comme non
fiable, dans la réalité d'une illusion que nous voulons bien lui donner. Nous
résistons donc à la perte éventuelle de ce sens de sécurité, que nous avons
trouvée dans l'idée que nous avons acceptée, nous la défendons férocement.
Il y a grande
difficulté à voir au-delà de la connaissance établie, de prendre conscience de
ce qui se cache derrière les perceptions dictatrices qui nous ont accommodés.
Cette confusion est une entrave à la sérénité de l'esprit et vient du fait que
la configuration mentale de nos trames de pensées, ne tolère pas le fait que
soit retirée la gloire qu'il y a d'avoir récolté de l'importance. Plus il y a
accumulation d'importance, c'est-à-dire plus d'images
de soi, plus la vie à laquelle nous nous sommes identifié, va donner des
émotions à fleur de peau et sera résistante et buté à accepter toutes autres conclusions.
Il y a là un
refus catégorique de voir que toutes idées et toutes croyances soient la
propagation de la division, facteur de la souffrance. Ils proviennent du
pouvoir hypnotique de tout le stockage des connaissances acquises, que nous ne
voulons pas laisser, parce que cela nous donne l'identité qui nous rassure, car
nous n'aimons pas l'idée de n'être rien du tout. Et pourtant c'est ce que nous
sommes, tant que nous nous identifieront à quelque chose que nous prenons gout
à être remarqué, nous ne pourrons pas connaitre la beauté de l'amour qui est le
tout dans le rien.
La mémoire
s'avère être un appui à l'importance que se
donne l'ego pour exister, car il y a identification à la valeur du penseur, qui
n'est pas différent de la pensée de sa mémoire. Cette pensée active toutes les
émotions,et l'émotion n’est pas un mouvement sépare de celui qui le vit. Nous
sommes ainsi la projection de tout le mouvement de notre psychisme et aller à
sa rencontre demande de l'observation pour percevoir toutes les pertinences,
les tendances, les résistances et les conflits de dualités.
La difficulté
est de sortir des sentiers battus, piétinés par des milliers de générations,
c'est la cause comportementale génétique des modes de vie répétés où c'est
installé la routine du confort, les comportements stéréotypes. Nous cachons à
nous-mêmes tout autre comportement ou perception inacceptable de l'opinion
reconnue. À cause de cela nous restons à la périphérie de tout ce qui est
fondamental, nos activités quotidiennes ne nous y conduisent jamais, l'affairement
est dans des rôles qui se jouent en apparence avec de rares instants de vérité qui est envahie immédiatement par toute sorte de
résistance à aller au-delà des sentiers battus.
Le vrai ennemi
de notre liberté est ici dans cette lourde mémoire que nous n'arrivons plus à
questionner de son bien-fondé, trop
abasourdie par son martèlement répétitif nous sommes devenues dociles. Nous ne
réalisons pas que cela nous mène captif, droit entre les murs que nous nous
sommes érigé.
Dans ses
mouvements de répétitions autour de l'habitude, la vie devient un mécanisme
bien rangé où l'on s'interdit la nouveauté et
celui qui défie les conformités, sera pris pour
un fou. Mais si ce fou-là, voit la folie de l'hypocrisie d'un monde
respectable, celui-là abandonnera son chantier, il réalisera l'inutilité de
faire des murs qui lui cachent la vue vers les horizons infinis. Tant de
générations on construit ses schémas de perception qui sont maintenant
l'identité même de nos entendements. Pourquoi nous
acharner à les garder dans des lieux tabous de notre conscience, nous
accrocher à leurs idées, avec l'interdiction de bousculer l'ordre établi ?
Pourquoi accepter de rester dans l'ombre qu'elle donne à la liberté de voir
plus loin ?
Une question que
chacun devras répondre pour lui-même en s’apercevant de sa propre condition
Toutes les activités de la pensée auxquelles nous nous adonnons
psychologiquement ferment les possibilités d'une réalité. Nous portons des
masques pour cacher notre vraie nature, il y a cette crainte d'être vrai, parce
que la vraie nature de l'homme n'est pas reconnu
par les conformistes, il y a la honte et l’angoisse de ne pas être aussi bien
habillé que tous ceux qui portent les flambeaux, de la glorieuse vie de
bataille à devenir ce que veulent les normes de
conformité. Il y a les regards qui jugent et contrôlent tout.
Sur un plateau
pour ton soi-disant bien, est donnée la marche à suivre.
Il y a là une extrême hypocrisie, cultivée sur des
vertus bidon que crée la peur de ne pas avoir la récompense, la tape dans le
dos. Être vrais ici, ne paye pas.
Personne n'a pourtant obligation à se
soumettre à l'autorité de quiconque, quand il s'agit de direction psychologique.
Dans ce domaine, il n'y a pas de route toutes
tracées, ni de but à atteindre comme nous le fait croire tant de courant de
pensée. Nous sommes nous-mêmes nos propres lumières nous devons le voir pour
nous même pour percevoir sa réalité, l’explication reste . Mais
si aujourd'hui nous sommes pour la plupart dans la confusion, dans l'angoisse et la compétition, c'est à cause de toutes
sortes de croyances et de superstitions. Et parce que nous sommes soumis à
leurs règles, nous voyons la vie que par cela,
cette manière de vivre nous donne l'assurance et l'espoir qu'arrivera un jour
l'illumination. Nous nous forgeons ces idées de méthodes pour atteindre
quelques concepts qui nous sourirons, parce que nous
sommes misérables dans nos quotidiens, à tourner en rond dans cette quête
perpétuelle du lendemain.
Au lieu de faire
face à la vraie vie de maintenant, nous sommes distraits par tout ce système de
pensée que nous soutenons, bien que nous voulions la paix, les batailles et la
confusion sont nos modes de vie que nous aimons pourtant bien. Mais dans une
perception où la réalité n'est pas travestie par la connaissance du passé et sa
projection dans l'espoir, il y a une clarté. Mais du fait de l'extraordinaire
liberté qui s'y trouve, l'homme dira. « Je ne peux faire cela, trop hasardeux !
» L'homme a de tout temps à voulut connaitre un vrai sens à sa vie et le voilà devant une évidente réalité et paradoxalement
il la rejette en un seul bloc. Alors, à quoi
aspire-t-il vraiment ?
Veut-il
seulement ne pas être dérangé, pour vivre sa vie en paix avec tout le confort
qu'il a de tout son connu, même s'il est misérable ?
Il ne veut pas laisse ses idées confortables, ni le privilège qu'il a d'être
à la tête du petit monde de confort qu'il s'est construit, il ne voit pas le
danger de son escalade qui crée de la division dans les rangs sociaux, ni le
danger de la division que cela crée et amène l'homme dans un désert où la
beauté et la vérité n'ont plus d'importance.
Il se résigne et
affirme que la liberté c'est l'inconnue et qu'il
faut par conséquent la contrôler puis la mettre en boîte pour l'appréhender.
C'est dans cette démarche que la vie se dicte dans la communauté des êtres
humains, pour ne devenir qu'un paquet d'idées sans vie, avant d'être consommé
dans la morosité de nos activités, de nos dogmes et
de nos institutions, ce qui fait de toutes nos sociétés la parfaite machine que
l'homme a pu construire, utile à formater l'esprit, accentuant l'isolement, où chacun
convoite sa propre idée du bonheur.
Implacablement, les
rouages de la pensée convergent à la traditionnelle vie que nous connaissons,
meurtri dans le reniement du problème béant de l'humanité. Il y a un refus de
voir la réalité comme elle est. Par ailleurs nous nous engageons dans toutes
sortes de philosophies de new âge, passant d'une
idée à une autre, d'un concept à un autre, d'une secte à une autre, cherchant
l'avantage de celle qui donnera la meilleure perspective de satisfaction qui
apaisera la tourmente du désire connaitre l’illumination. Nous voulons nous
donner bonne conscience à ne pas avoir des actions néfastes en vue de la
stabilité de la planète. Mais ce processus vient aussi de la fabrication de la
pensée qui a fabriqué tous nos modes de vie basée sur des idées, en déniant la
réalité de ce qui se passe vraiment au sein de
notre conscience, d'où découle tous nos comportements de crainte, qui refuse de
voir la réalité du monde dans lequel nous vivons, qui est tout bonnement la projection de notre propre conscience.
Nous ne
regardons pas ce qui se passe en profondeur, pour s'apercevoir comment ce monde
est arrivé à être ce qu'il est, nous comparons entre ce que la pensée idéalise
et la réalité, nous préférons le rêve que nous fabriquons
et la réalité, nous la rejetons tout simplement et
ainsi c'est l'illusion où se retrouve la délectation du plaisir avec lequel
nous nous réconfortons.
L'habitude qu'à la plupart d'entre nous, c'est de chercher à
travers nos désirs et nos tendances, une issue où se manifesterait une apothéose à notre existence.
Quelque chose de différant qui serait autre que la réalité de la vie que nous
menons jour après jour, mais l'issue n'est alors que
l'aboutissement de nos propres rêves de l'idéale, puisque nous ne sortons pas
de notre cercle de la croyance des rêves fabriqués
par la peur de faire face à cette réalité. La réalité pourtant ne se trouve pas
dans cette démarche frénétique qu'anime le raisonnement d'un centre à assouvir,
mais dans son démantèlement afin qu'apparaisse frappé d'un rayon de soleil ce
qui excite pour de vrai. Nous sommes constamment
absorbés par l'illusion que le centre fabrique, ce centre est
l'illusionniste qui construit un substitut qui
n'existe pourtant pas.
Nous n'abordons
ainsi jamais l'exploration de savoir ce qu'est le fonctionnement des pensées
qui nous habitent, elles sont déterminantes, car
elles sont les réacteurs en chaînes du contenu de la conscience. Il y a une pression
énorme, dans tout ce mouvement qui converge à donner le ton sur laquelle doit
ce joué l'activité humaine.
Il est peut-être
difficile d'admettre que tout le mouvement de la pensée est celle que partage
aussi autrui, chacun de nous est pris dans le résidu de toutes les mémoires qui influencent toutes les réactions
et notre résistance à cela est elle-même un
conditionnement de nos expériences ou la pensée a son dessein de planter la
croyance que chaque conscience est unique et ne pense que par lui-seul. Il y a dans ce qui est dit, peut-être une
déception de ne pas être ce spécial que l'on a bien voulu accepte d'entendre
des spéculateurs, insinuant qu’il y a quelque chose qui restera du moi après la
mort , mais cette entité n’est rien d’autre qu’un assemblage d’image installe
par un captage de tout ce que l’homme a introduit sur l’auto route des courant
de pensée qui est la mémoire dans laquelle est puisé l’individualité tel que
nous connaissons.
Ainsi il y a une transcendantale découverte de
savoir que la pensée a tout fabriquée et qu'il
n'y a, aucune réalité à cela, que nous avons alimenté cette perceptive de
l'idée qui réconforte et l'avons cultivée. Peut-être que
nous avons à notre capital humain des décennies d'illusions et
d'insatisfaction, qui fait que le désir de trouver une issue est rempli de
passion, mais l'illusion de nos espoirs nous mène directement à la rencontre de
nos propres envies. C'est-à-dire encore plus loin dans la conviction d'une soie
distante vérité, que le mensonge raconte à travers la pensée. Encore là le
cercle vicieux d'un malaise qui reste intact. Obnubilé par
la sécurité, d'être tout ce que la pensée nous a dit d'être, est un fait de son
emprise sur nos réactions. Réactions que si nous nous appliquons à examiner de
plus près, nous verrons qu'elle obéit à la
dictature menaçante, qui exige que l'on doit bien
rester dans les sentiers battus, sans s'en écarter, nous devons faire preuve
d’obéissance à la mémoire ancestrale et génétique instauré par des habitudes
infrangible .
Ainsi nos vies
sont mécanisées, nous ne sommes que des robots, qui allons
tous les jours répéter les mêmes choses que nous n'avons pas besoin de
contredire, puisque nous sommes dominés par tous le flot des pensées qui ont
endoctriné nos cerveaux à accepter.
Nous le faisons par habitudes, au bon gout de ceux qui
veulent en retirer encore plus de plaisir pour leurs insatiables demandes de
pouvoir. Nous sommes tous pris dans cette tourmente, et ce n'est pas glorieux,
nous préférons ne jamais y
croire, mais cette réalité est bien là, elle dérange mais nous nous y accoutumons.
Il y a ceux qui
prônent, que le monde va bien parce que disent-ils, nous nous y attelons à le rendre meilleur. Mais n'est-ce
pas-là aussi une illusion que la pensée nous raconte avec des idéologies
qu’elle met en place, cela nous donnes
encore l’espoir que demain ira
mieux. Mais en attendant il y a la guerre et la souffrance et plus de problèmes
sur le tapis à résoudre
Un cycle sans
aucune fin au cauchemar de ne jamais aboutir, seulement vers plus de
problèmes à résoudre ? Ainsi va le monde depuis des lustres.
Quand il y a
résistance à lâcher les choses et les idées qui nous donne le sens de sécurité
et qui sont les images auquel on c’est identifié, il y a
une dualité qui se manifeste en soie et
apporte de la division et conflit parmi les hommes et les femmes, car la peur
de souffrir produit des actions bien mesquine lier à un centre d’intérêt egocentrique qui ne
connait pas la pitié.
La souffrance
est le déchirement de l’image que l’on c’est crée comme réalité, une identité
bien choyé de ce que l’on est, l’édifice qui a maintenant toute une importance d’après le code des
conformistes.
Ainsi, voir les
rouages de nos actions et de nos réactions, les tendances que prennent nos
comportements, les observer sans vouloir les changer,
nous ferons voir l'immense désordre qui habite nos consciences et c'est
seulement là que nous accepterons de lâcher la compréhension qui est à effigie
d'un public conquis.
Une observation
de la conscience, sans réaction produit le changement. La non-action produit la
paix au sein de l'existence et là, s'installe
dans cette non-action de la pensée, l'amour qui a son propre pourvoir d'action.
Nous verrons tout simplement le chemin et la
lumière qui s'est déployé là, qui est celle d'une perception authentique d'une
vie sans pensée désordonné de l'homme. Il y aura
la paix intérieure que s'il n'y a pas la réaction de la pensée devant toutes
les actions des hommes.
Inscription à :
Articles (Atom)