Le blog de ceux qui se posent des questions fondamentales sur l'existence, à savoir s'il y a une issue à la médiocrité humaine et quelle est la responsabilité de chacun d'entre nous.
lundi 27 janvier 2014
vendredi 24 janvier 2014
lundi 20 janvier 2014
Réponse à un ami
Etre chose importante,
c'est accepter de croire que nous, homme créature de dieu est supérieur aux
autres créatures (arbre, animaux...)Par notre intelligence, nous vivons pour
une vraie vie universelle. Nous savons que si nous sommes à l'image de dieu; nous
ne seront jamais dieu. Aucun homme sur cette terre n'a , n'est, et ne sera
"DIEU".L'image d'une montagne, n'est pas MONTAGNE,, l'image d'un
arbre n'est pas L 'ARBRE. Une citation amérindienne" Considère chaque
chose pour ce qu'elle est. Respecte toute vie, dégage ton cœur de l'ignorance,
ne tue pas et ne nourris pas de pensées coléreuses" Oui, sachons que nous
sommes important , que pour nous même.
-À mon observation
personnelle, l'affirmation d'être à l’image de Dieu ou pas, où se définir comme
étant Dieu, est en lui-même une fabrication de l'ego qui veut exister en tant
que quelque chose à être. Il y a cette tendance chez nous les hommes à vouloir
exister à tout prix au regard des autres, se définir une apparence pour être
reconnue dans l'image que l'on se fait de soi-même, la plupart jouent le rôle
de comment il pense devoir être afin d'être accueilli par son environnement.
Mais il est d'autant plus difficile quand il s'agit de s'accepter soi-même,
quand ce qui prône nos pensées, est de se rendre conforme à ce que nous avons
toujours entendu dire à travers l'histoire de nos éducations , nos cultures,
qu'elle soit judéo-chrétienne, bouddhiste islamiste, hindouistes, etc., ils
nous ont tous appris, comment la vie que nous vivons devrait être pour
atteindre le nirvana ou la félicité. La vie qu'il y a à vivre, selon l'image
d'un Dieu, bon, gentil, aimant, non égoïste, etc.
Mais le regard intérieur, de ce que l'on est véritablement, demande une sincérité sans compromis pour comprendre nos croyances, nos tendances et nos désirs pour un Dieu qui soit le contraire de ce que nous sommes capables d'être. Nous nous cachons à nous-mêmes notre vrai visage et donnons l'image de ce que nous aimerions être, mais l'image comme tu dis n'est pas une réalité en soi. Se connaitre et s'accepter tel que l'on est, c'est cela sortir de l'ignorance ; tout simplement parce que, voir son propre conditionnement, rend capable de voir ce que nous ne sommes pas et ce que nous prétendons être. Nous sommes le produit de toute la mémoire de l'espèce humaine, l'histoire de toutes ses conclusions, ses règles, ses traditions , ses croyances et ses tabous. Le monde intérieur dans lequel le "moi/je" se meut à exister est l'héritage de la mémoire de comment la vie devrait être selon l'expérience de l'humanité.
Mais le regard intérieur, de ce que l'on est véritablement, demande une sincérité sans compromis pour comprendre nos croyances, nos tendances et nos désirs pour un Dieu qui soit le contraire de ce que nous sommes capables d'être. Nous nous cachons à nous-mêmes notre vrai visage et donnons l'image de ce que nous aimerions être, mais l'image comme tu dis n'est pas une réalité en soi. Se connaitre et s'accepter tel que l'on est, c'est cela sortir de l'ignorance ; tout simplement parce que, voir son propre conditionnement, rend capable de voir ce que nous ne sommes pas et ce que nous prétendons être. Nous sommes le produit de toute la mémoire de l'espèce humaine, l'histoire de toutes ses conclusions, ses règles, ses traditions , ses croyances et ses tabous. Le monde intérieur dans lequel le "moi/je" se meut à exister est l'héritage de la mémoire de comment la vie devrait être selon l'expérience de l'humanité.
Au-delà de toute la mémoire il y a
l'inconnue et de tous les temps, au travers les
civilisations se sont extirpé des
hommes qui ont voulu percer le mystère de la vie, savoir si au-delà de ce
qu'ils sont, au-delà de la perception de leur quotidien, il y aurait une autre
dimension, une perception toute nouvelle qui ne soit pas faussée par la
connaissance de leur expérience du connu. Ses gens nous laissent des traces
d'une évidence dans leur sillon, que pour explorer cet inconnu il nous faut
être libre de toutes connaissances, de toutes conclusions, de toutes croyances
et de toutes les peurs qu'il y a à quitter ces repères bien confortables. Celui
qui prendra cette voie où se démantèlent toutes
cristallisations du passé, va s'apercevoir que la réalité de ce monde est une
vérité qui dérange les bases même de tout ce que l'on peut penser, car nos
pensées qui apportent nos imaginations font partir de la mémoire et en elle
rien ne peut être neuf, c'est l'entrepôt
du passé limité à elle-même.
la perception du neuf, ne peut être que si le silence de tout le brouhaha de la pensée se fait, une importance capitale pour que l'harmonie s'installe au sein de soi-même. A partir de là, il y aura la liberté capable d'explorer un royaume hors du temps.
Considère toi-même pour ce que tu es, ne juges pas ce qui se profile, ne fuit pas ce que tu vois, ne fait rien pour arrêter de voir ce que tu vois, ne laisse pas la connaissance te dire ce que tu devrais être. Cette observation silencieuse sans parti pris est la transformation du désordre vers l'ordre.
la perception du neuf, ne peut être que si le silence de tout le brouhaha de la pensée se fait, une importance capitale pour que l'harmonie s'installe au sein de soi-même. A partir de là, il y aura la liberté capable d'explorer un royaume hors du temps.
Considère toi-même pour ce que tu es, ne juges pas ce qui se profile, ne fuit pas ce que tu vois, ne fait rien pour arrêter de voir ce que tu vois, ne laisse pas la connaissance te dire ce que tu devrais être. Cette observation silencieuse sans parti pris est la transformation du désordre vers l'ordre.
Mais étant donné que nous nous sommes divisé dans nos comportements individuels, occupé à diviser pour réaliser le monde en couple, en groupe, en pays, en nation. Alors nous avons l'impression qu'il faut être important dans la rivalité qui excelle, mais là c'est encore l'ego qui produit de l'illusion.
Rien n'existe à par l'union d'un amour qui nous unit, le reste , n’est que de l’inventons pour paraitre dans l’existence, alors que pour existé il faut vivre.
dimanche 19 janvier 2014
vendredi 17 janvier 2014
Ma declaration d'amour
Tu es l'être de mon cœur,
toi et moi sommes liés à jamais d'une manière naturelle, comme les racines sont
liées à la terre, la terre au cosmos, le cosmos à l'univers. Nous sommes amour
et joie.
Mais ce que tu penses
est le fruit de ce que tu as appris et cela t'arrange d'y croire, parce que
cela fait de toi, celui qui s'assoie dans les conforts des désirs que tu te
donnes, cependant cela nous isole de notre union.
Nous savons au fond que
l'existence est quelque chose d'extraordinaire et nous sommes tout azimut, à
affût pour arriver à trouver le bien- être, mais c'est l'idée que nous
cherchons à soutenir, c'est l'idée de l'union que l'on prêche sur les toits,
pour raconter ce qui nous manque vraiment, nous souffrons de voir le désordre
dans le monde et tout le démantèlement qui a été fait de l'unité. Le manque
d'être lié nous peine, nous voulons nous aimer, mais en même temps il y a la
peur de se retrouver devant la trahison et donc devant la peur d'être blessé,
ainsi il y a toute sorte d'action pour se protéger de la souffrance, en
attendant l'union attend toujours. Pourtant, je sais au fond que je t'aime, que
tu n'as pas besoin d'en être digne, c'est simplement la destinée naturelle de
ce que nous sommes, des êtres dont la nature est d'être unie .
Le
temps a parcouru l'histoire de la race humaine qui s'est activés à faire
désespérément la course à son bien-être, ils ont cru pouvoir résoudre le
problème de leur réconfort à la détresse de la solitude, mais toutes les
actions à travers les âges ont été celle où le premier pas a toujours été
attendu comme un sauveur et cela n'a rien fait pour éclairer notre union et en
attendant la solitude court toujours les pentes interminables.
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Ton cœur est en moi et
le mien est aussi dans le tien, tu le sais au fond de toi. Mais les jours
passent avec son chaos qui divise et pris dans un monde où ne compte que le
plaisir, il est peu- être normal que tu doutes que l'union soit une vérité
certaine. Mais loin de ton cœur et loin du mien, au milieu de l'activité de tes
histoires, comment peux-tu être claire et limpide ?
Mon cœur est le tien et
ton cœur est le mien, quand le silence des rues cesse, l'union de nos cœurs pourra
communier d'un grand amour. Tu es moi, je suis toi et je t'aime comme je
m'aime.
mardi 14 janvier 2014
Une quenelle à tout le système en soi
La quenelle
est le franc parlé de la démocratie, qui dérange le complot de la racaille
totalitaire. La réaction est évidente, museler aux plus vite les paroles qui
mettent en danger la pérennité de leurs complots d'intérêts. C'est le coup de
bâton sur le nid de guêpes, il n'y a pas besoin de sortir des écoles pour
observer leur stratégie. Depuis déjà longtemps et sournoisement les libertés
sont bafouées, à l'insu de tous ceux qui ont espéré pouvoir retirer quelque
chose des promesses de ses renards. Les combattre en ferait tomber quelques-uns
, mais les enjeux sont profondément enterrés dans un réseau de terrier, il est
trop tard pour ceux-là, ils sont condamnés à leurs activités de destruction.
Ils sont prêts à mourir à la cause de ce qu'ils croient être la vérité.
Mais il y a
un espoir, parce que le franc parlé de la quenelle, nous concerne tous, par son
infiltration dans les milieux où la rencontre se fait avec les esprits qui
prennent les vessies pour des lanternes. Elle fait surgir ce que tout le monde
veut se cacher, la réalité. Malheureusement dans l'état actuel des choses les
mensonges des renards prévalent sur ce que la réalité s'annonce d'être
Mais, moi,
j'invite à chacun d'entre nous, à nous la mettre aussi cette quenelle pour voir
où est-ce qu'on en est.
voir si
toutes nos actions son aguerrie de malhonnête.
voir si nous
sommes aussi capables de nous mentir à nous-mêmes et ensuite à nos semblables.
voir si
quelque part, nous aussi, nous ne contribuons pas à la dérive de notre
humanité.
voir si des
réactions impulsives à comploter sur nos propres intérêts ne sont pas présentes
en nous.
Ne
sommes-nous pas près aussi, à cacher nos mensonges dans des terriers pour ne
pas être débusqués.
la
société extérieure est faite de ce que nous sommes chacun intérieurement et
tant que le mal est vu à l'extérieur de nous, facile à accuser, facile à ne pas
se sentir responsables. Alors, toutes les actions entreprises sur la condition
de ce qui se passe dans le monde sera une peine perdue
Si
nous sommes capables de révolution intérieure, pour abandonner nos haines et
les belles apparences qui font de nous un peu plus que l'autre, le monde serait
un paradis. Alors, nous n'aurons pas à nous adonner à des contorsions de
l'esprit pour espérer qu'un quelconque Dieu pourrait venir nous sauver, nous
sommes les seules à nous sortir de cette hideuse merde
Au
nom d’une véritable vie pour soi, pour
que l'unité, la fraternité et la liberté, existent pour tous, ne donnons pas notre énergie à nourrir
les pensées des renards, sans notre consentement, ils sont mort.
lundi 13 janvier 2014
l'humanité en dérive ?
Lettre à un ami
l'humanité est d'après ce que tu dis, une masse de personnes inconscientes de leurs actes, la maison est en feu et on ce fait les ongles. Prendre conscience est déjà une bonne chose et de plus en plus le font , parce qu'il y a une pression insoutenable, qui nous choque et mobilise nos esprits à s'interroger. Nous savons que de toute évidence la vie offre à l'homme, une autre destinée, celle-là n'est pas la profonde aspiration que nous pouvons pressentir de la vie.
Mais si nous sommes concernés, la prise de conscience périphérique ne suffit pas, il nous faut remonter jusqu'aux racines, pour voir où sont les maraîchages dans lesquelles nous nous sommes enfoncé. Pourquoi nous avons les réactions que nous avons à se la couler douce, comme tu le dis si bien, alors qu'au fond nous sommes très rarement joyeux dans la vie quotidienne
Alors que les actes de nos indolences nous font fermer les yeux de notre conscience, pendant ce temps le monde va à sa perte, l'inconscience de nos actes que nous pratiquons malgré tout, est la contribution que chacun apporte à la souffrance de l'humanité.
L'humanité est le réservoir où l'individu va puiser sa conscience et réagir à son tour avec les mêmes outille du passé, nous n'inventons rien, nous sommes tout simplement le résidu de l'humanité, nous sommes copie conforme condensée de million d'années, nous répétons les traditions, l'éducation, les règles, les conclusions, les vieux tabous, tous ceux-là sont les dictatures de nos mémoires, qui ensuite surgissent en pensées et nous nous passons à l'acte en construisant le monde de nos envies. Voir que nous sommes assujettis à la mémoire de l'humanité, que nous vivons la vie comme elle devrait d'être d'après cette mémoire.
C'est la vie que nous désirons volontairement, elle est acceptée
sous d'alléchantes promesses mensongères, la vie magnifique où l'on trouve de
la sécurité, celle qui a conduit le monde dans l'état que nous connaissons
aujourd'hui. Nous devrions nous poser la question, s'il existerait une autre
sorte de vie, sans les dictatures du conditionnement.
Tout cela parce que nos cœurs sont occupés à ce la couler douce, là où se trouvent ses plaisirs de la vie, qui sont considérés important pour assouvir la demande du nombrilisme ; dont l'activité empêche le silence et la paix du cœur à prendre totalement conscience que notre vraie nature est d'être libre des miettes de liberté que l'on nous donne.
Belle vie à toi, il y a déjà trop de monde qui s'apitoie dans le monde. De la joie de vivre, c'est ce que les hommes ont besoin, afin que cesse la dérive. À bientôt.
l'humanité est d'après ce que tu dis, une masse de personnes inconscientes de leurs actes, la maison est en feu et on ce fait les ongles. Prendre conscience est déjà une bonne chose et de plus en plus le font , parce qu'il y a une pression insoutenable, qui nous choque et mobilise nos esprits à s'interroger. Nous savons que de toute évidence la vie offre à l'homme, une autre destinée, celle-là n'est pas la profonde aspiration que nous pouvons pressentir de la vie.
Mais si nous sommes concernés, la prise de conscience périphérique ne suffit pas, il nous faut remonter jusqu'aux racines, pour voir où sont les maraîchages dans lesquelles nous nous sommes enfoncé. Pourquoi nous avons les réactions que nous avons à se la couler douce, comme tu le dis si bien, alors qu'au fond nous sommes très rarement joyeux dans la vie quotidienne
Alors que les actes de nos indolences nous font fermer les yeux de notre conscience, pendant ce temps le monde va à sa perte, l'inconscience de nos actes que nous pratiquons malgré tout, est la contribution que chacun apporte à la souffrance de l'humanité.
L'humanité est le réservoir où l'individu va puiser sa conscience et réagir à son tour avec les mêmes outille du passé, nous n'inventons rien, nous sommes tout simplement le résidu de l'humanité, nous sommes copie conforme condensée de million d'années, nous répétons les traditions, l'éducation, les règles, les conclusions, les vieux tabous, tous ceux-là sont les dictatures de nos mémoires, qui ensuite surgissent en pensées et nous nous passons à l'acte en construisant le monde de nos envies. Voir que nous sommes assujettis à la mémoire de l'humanité, que nous vivons la vie comme elle devrait d'être d'après cette mémoire.
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Tout cela parce que nos cœurs sont occupés à ce la couler douce, là où se trouvent ses plaisirs de la vie, qui sont considérés important pour assouvir la demande du nombrilisme ; dont l'activité empêche le silence et la paix du cœur à prendre totalement conscience que notre vraie nature est d'être libre des miettes de liberté que l'on nous donne.
Belle vie à toi, il y a déjà trop de monde qui s'apitoie dans le monde. De la joie de vivre, c'est ce que les hommes ont besoin, afin que cesse la dérive. À bientôt.
samedi 11 janvier 2014
UN MOT A L'INSATISFAIT pour ce qui se passe autour de lui et en lui en ces jours
Après
des temps de misère, le drapeau de la fierté fut hissé sur son mât,
c'était dans les jours où le soutien de la ville, était pourvu par
des guerriers de l'abondance.
Ils
s'en étaient allés piller les pauvres et avaient ramené de la
victuaille sur la planche, toute la ville était joyeuse et les rats
ont été aussi bien engraissés, car, ils ont pu profiter de
l'aubaine. Le plaisir était là et personne ne se posait de
questions puisque tout allée bien pour eux.
Mais
là-bas loin de leurs yeux, postés devant les murs de leurs
désespoirs, les pauvres s'activaient à reconquérir des jours
meilleurs. Les gémissements et les complaintes dans l'air, montaient
dans un tumulte assourdissant et la voix de la joie était presque
inaudible, elle appelait à travers les brèches de ces murailles de
désespoir, à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.
-Mais
où est ton attention pour voir, quand se fera le silence de tes
peines, jusque à quand pleureras-tu sur le sort qui n'est pas le
tient ?
Après
toutes actions à combattre le mal subi en retraite, comme un renard
rusé insidieusement, celui-ci parvenait à réapparaître en
bienfaiteur pour sévir sur la vie des pauvres enfants du pays des
débonnaires, en leur proposant une solution .
La
joie dans sa bonté par les brèches, appelait encore, à ceux qui
avaient des oreilles pour entendre.
-Quelle
est cette agitation dans ton cœur qui a pris peur de ne pas mériter
le trésor du voleur. A-t-il séduit ton cœur que tu sois esclave de
tes désirs puisé dans leurs promesses ?
Renards,
rats et voleurs, adorent la mélodie de ton désenchantement leur
force se trouve là, c'est leur terrain de prédilection, où
s'alimentent leurs belliqueuses intentions
Celui
qui répond par l’épée mourra par l’épée, mais celui qui
répond par les instruments de son cœur, atteindra son ennemi.
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