Après
des temps de misère, le drapeau de la fierté fut hissé sur son mât,
c'était dans les jours où le soutien de la ville, était pourvu par
des guerriers de l'abondance.
Ils
s'en étaient allés piller les pauvres et avaient ramené de la
victuaille sur la planche, toute la ville était joyeuse et les rats
ont été aussi bien engraissés, car, ils ont pu profiter de
l'aubaine. Le plaisir était là et personne ne se posait de
questions puisque tout allée bien pour eux.
Mais
là-bas loin de leurs yeux, postés devant les murs de leurs
désespoirs, les pauvres s'activaient à reconquérir des jours
meilleurs. Les gémissements et les complaintes dans l'air, montaient
dans un tumulte assourdissant et la voix de la joie était presque
inaudible, elle appelait à travers les brèches de ces murailles de
désespoir, à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.
-Mais
où est ton attention pour voir, quand se fera le silence de tes
peines, jusque à quand pleureras-tu sur le sort qui n'est pas le
tient ?
Après
toutes actions à combattre le mal subi en retraite, comme un renard
rusé insidieusement, celui-ci parvenait à réapparaître en
bienfaiteur pour sévir sur la vie des pauvres enfants du pays des
débonnaires, en leur proposant une solution .
La
joie dans sa bonté par les brèches, appelait encore, à ceux qui
avaient des oreilles pour entendre.
-Quelle
est cette agitation dans ton cœur qui a pris peur de ne pas mériter
le trésor du voleur. A-t-il séduit ton cœur que tu sois esclave de
tes désirs puisé dans leurs promesses ?
Renards,
rats et voleurs, adorent la mélodie de ton désenchantement leur
force se trouve là, c'est leur terrain de prédilection, où
s'alimentent leurs belliqueuses intentions
Celui
qui répond par l’épée mourra par l’épée, mais celui qui
répond par les instruments de son cœur, atteindra son ennemi.
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