vendredi 1 mars 2013

Sortir du conditionnement CITATION


les courants de pensée classiques se dessinent parmi ces habituels même sentences -(quand tu as un grand cœur, tu aides beaucoup, tu fais trop confiance, tu donnes beaucoup, tu aimes beaucoup, et il semble que c'est toujours toi qui te blesses le plus)-... Mais ce n'est pas parce que ton cœur est grand ni parce qu'il aime beaucoup qu'il  va subir la cause des blessures, c'est surtout parce que, ce genre d'amour n'est que de l'attente où l'on s'attache à un résultat. L'entité qui attend une récompense souffre d'un manque d'assouvissement a son attente d’être aimé;



Si tu ne veux pas te prendre la tête à te faire des blessures; il suffit d’être inconditionnelle.



Aime, mais n'attend rien;   donne, sans jamais rien attendre en retour; n’accuse pas celui qui a trahi ta confiance et te rend triste.
 La tristesse est la frustration de l'attente d’être aimé... 
Ta blessure ne vient que s'il y a de l'attente.
Aime, et à ce moment là , tu ne seras pas occupé par tout un affairement de  tes pensées  à trouver  l'amour.
Seulement quand l'homme n'est pas préoccupé par ce qui lui arrive, où arrivera  qu'il rencontre le bonheur, aimer c'est s'oublier...

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