mardi 1 avril 2014

Extrait de "Gardien de la beauté"

Depuis les montagnes, où  la vie était rude mais paisible, on pouvait voir les vallées verdoyantes s’étendre au loin. Attirés par l’abondance des plaines, beaucoup, par ambition s’en est allée pour prospérer , si bien que très vite,  une ville s’érigea en ces lieux fertile  et attira d’avantage de gens au désir de foisonner leur destin. A cause de cela  tous les produits de la plaine ont pris de la valeur et furent convoités puis séquestrés par une minorité au savoir faire pour la seule  raison  de pouvoir manipuler les esprits, qui étaient prêt  à tout pour accéder à la manne des  plaines dans la vallée.
La ville était devenue  un lieu de festivité, aux enseignes belliqueuses insistantes et prometteuses, on y trouvait la panoplie des plaisirs constamment en effervescences, mais aussi son coté disgracieux de rivalité, que  l’ambition semait  sur son passage.
La plaine fut avec le temps ravagée par  l’intense besoin de la ville, si bien que les matières première finirent par marquer.
Après des temps passé à la misère du marque, le désir  était rendu nécessaire pour donner de la sécurité, aussi le drapeau de la fierté fut hissé sur son mât, c'était dans les jours où le soutien de la ville, était pourvu par ceux qui promettaient le rêve de la croissance.
Ils s'en étaient allé piller d’autre contrée  et avaient ramené de la victuaille sur la planche, toute la ville était joyeuse même les rats se sont engraissés de l’abondance, car, ils avait cette  particularité de  profiter de l’opportunités et de  l’ignorance de ceux qui entaient occupé a sortir de leur malencontreux destin. Le plaisir était de retour et personne ne se posait de questions puisque tout allée bien pour eux, ils avaient tout en abondance.
Mais là-bas, loin de leurs yeux, postés devant les murs de leurs désespoirs, les victimes devenues pauvres s'activaient à reconquérir des jours meilleurs. Les gémissements et les complaintes dans l'air, montaient dans un tumulte assourdissant et la voix de la joie, presque inaudible, appelait à travers les brèches des murailles de désespoir, à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.
-Mais où est ton attention qui donne la vue pour  voir ce qu’il y a à voir? Quand se fera le silence de tes peines ?  Jusque à quand pleureras-tu sur ton  sortilège ?

Après toutes actions à combattre le mal subi,  l’agresseur des premiers jour, comme un renard rusé, insidieusement, celui-ci parvint à réapparaître en bienfaiteur pour sévir sur la vie des pauvres enfants du pays, qui étaient  victime de leur tyrannies  ces vagabonds étaient revenue, pour leur  proposer une solution à leur tragique condition, inondant la place publique de promesse.
 
Mais la  joie, toujours méconnue des foules, dans sa bonté par les brèches de la carapace, s’adresse à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.

-Quelle est cette agitation en ton cœur qui a pris peur de ne pas pouvoir prendre part au trésor du voleur, a-t-il séduit ton cœur, que tu sois esclave du désir que tu as puisé dans leurs promesses et que tu en as fais le tien?
Ressaisi toi, car renards, rats et voleurs, adorent la mélodie de ton désenchantement, leur force se trouve là, c'est un terrain de prédilection que tu leur donnes là, pour qu’ils existent et où s'alimentent leurs belliqueuses intentions.
Celui qui les  combattra par l’épée mourra par l’épée, mais celui qui répondra par les actions que la liberté apporte, ne fournira plus de sol sur  le quelle pousse le fruit des  désirs.
Qui est l’ennemis, si non celui qui désir le plaisir sans se soucier de  la joie et sa paix?
La beauté de la vie paisible est détruite par les actions de celui-là qui agit dans la compulsion inconsciente de ses instincts. 
                                                                                                           Guy ROGER

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