samedi 28 mars 2015

Réfléchissons à ceci !



          On t'a appris à vivre selon des normes, on a insisté au rythme des quotidiens afin que s'installe dans tes habitudes une tradition  qui résonne depuis toutes les expériences du passé. Tous s'y appliquent par la soumission aux ordres établis. L'obéissance s'est enracinée dans les mœurs qui sont devenus des tabous que personne n'ose remettre en question.
C'est la vie ! dit-on, impossible de faire autrement !
Mais quand la monotonie emboîte le pas à tes quotidiens et que tu ne connais pas le vrai sens de ta vie, tu parles d'un mystère où la confusion est l'univers de tes pensées et ta joie d'être, ne voit pas le jour.
Alors que tes journées sont vides de gaîtés, tu attends des lendemains plus radieux pour alors, être heureux.
Esclave de l'attente qui fait exister le temps, tu rêves d'un amour sauveur où s'inventent des plaisirs pour faire exister des joies futiles entachées de déceptions. Alors, le temps passe et tu accuses le destin de ton sort tout en vaquant à tes habitudes et à tes modes de vie. Et pour te réconforter, tu projettes dans tes espoirs une vie idéale. Car, tu es isolé de la beauté de l'instant qui est à vivre, libre de toutes habitudes et de tous désirs à poursuivre tes attentes.
Tu ne sais plus être seul avec le bruit du vent dans les branches et des oiseaux qui chantent, tu es accaparé par le  mécanisme de tes pensées qui te ramènent à la réalité de toutes tes tracasseries

Mais où est la réalité ?... Est-ce le réconfort que tes rêves et tes désirs te donnent,  Où est-ce, d'exister sans être apeuré de la liberté d'une vie sans barrière et sans tabous?
Quelle est donc  cette force qui confine ton esprit à la raison, te faisant suivre la voie des sentiers battus et de leurs monotonies ?

Tes pensées conditionnées ne sont-elles pas la cause ?
La liberté de l'esprit ne réside-t-elle pas dans ce questionnement ?

Qu'en penses-tu ?
Une autre sorte de méditation  est-elle nécessaire  si celle-ci est prise en compte ?


dimanche 22 mars 2015

Qui es responsable de l'etat du monde ?

La société est faite de ce que nous sommes chacun intérieurement et tant que le mal est vu à l'extérieur de nous, facile à accuser, facile à ne pas se sentir responsables. Alors, toutes les actions entreprises sur la condition de ce qui se passe dans le monde seront une peine perdue
Si nous sommes capables de révolution intérieure, pour abandonner nos haines et les belles apparences qui font de nous un peu plus que l'autre, le monde serait un paradis. Alors, nous n'aurons pas à nous adonner à des contorsions de l'esprit pour espérer qu'un quelconque Dieu pourrait venir nous sauver, nous sommes les seules à nous sortir de cette hideuse fabrication de nos pensées.

jeudi 19 mars 2015

le livre "conscience d'un monde parallèle"

"Conscience d'un monde parallèle" Procurez vous une copie, disponible à St Denis aux librairies Gérard , Autrement, et France loisir. A St Pierre à la librairie Autrement. A St André,à la librairie Le cercle du savoir ou faite votre commende à zonelibre2@gmail.com ; Un livre sur la vie en dehors de son banal destin , de Guy ROGER aux éditions Zone libre.  06 93 97 96 16

mardi 17 mars 2015

Relation et humilité



Pourquoi les relations ne sont-elles pas sources de bien-être et de communion ? Elles finissent toujours par être sujettes à la rivalité où chacun campe sur son terrain d'idéalisation et de conclusion, là, une sorte de tolérance se joue dans l'hypocrisie pour pouvoir profiter de l'énergie de l'autre. Finalement, des routines s'installent où l'intérêt reste le facteur majeur qui fait exister la relation dans une parfaite parallèle où la rencontre réelle ne se fait jamais.
Il semble que, plus les liens sont par le temps imbibé d'intimité plus la communion devient improbable car la mémoire restitue l'image de la perception qui a été vécue et c'est par cette image que la relation s'identifie. Cette mémoire interfère la liaison directe avec la réalité. Alors que nous pensons connaitre la personne en face de nous, nous lui attribuons toutes les caractéristiques de l'image qui a été l'expérience du passé.
Devant la relation, l'ego cherche toujours l'intérêt de son assouvissement qui est la somme de ses réactions apprises à se protéger lors de ses souffrances encourues, il attend trouver satisfaction avec l'image qu'il se donne, car autrement il demeure dans la frustration de ne pas être reconnu. Quand l'image est valorisée, choyer et glorifier il y aura de l'assurance et de la reconnaissance aux deux parties.
Cependant, au cœur de cette activité de paraître pour excité, fait rage toute la misère du monde.


Demandez la copie entière de RELATION et HUMILITÉ


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