lundi 20 janvier 2014

Réponse à un ami

Etre chose importante, c'est accepter de croire que nous, homme créature de dieu est supérieur aux autres créatures (arbre, animaux...)Par notre intelligence, nous vivons pour une vraie vie universelle. Nous savons que si nous sommes à l'image de dieu; nous ne seront jamais dieu. Aucun homme sur cette terre n'a , n'est, et ne sera "DIEU".L'image d'une montagne, n'est pas MONTAGNE,, l'image d'un arbre n'est pas L 'ARBRE. Une citation amérindienne" Considère chaque chose pour ce qu'elle est. Respecte toute vie, dégage ton cœur de l'ignorance, ne tue pas et ne nourris pas de pensées coléreuses" Oui, sachons que nous sommes important , que pour nous même.



       -À mon observation personnelle, l'affirmation d'être à l’image de Dieu ou pas, où se définir comme étant Dieu, est en lui-même une fabrication de l'ego qui veut exister en tant que quelque chose à être. Il y a cette tendance chez nous les hommes à vouloir exister à tout prix au regard des autres, se définir une apparence pour être reconnue dans l'image que l'on se fait de soi-même, la plupart jouent le rôle de comment il pense devoir être afin d'être accueilli par son environnement. Mais il est d'autant plus difficile quand il s'agit de s'accepter soi-même, quand ce qui prône nos pensées, est de se rendre conforme à ce que nous avons toujours entendu dire à travers l'histoire de nos éducations , nos cultures, qu'elle soit judéo-chrétienne, bouddhiste islamiste, hindouistes, etc., ils nous ont tous appris, comment la vie que nous vivons devrait être pour atteindre le nirvana ou la félicité. La vie qu'il y a à vivre, selon l'image d'un Dieu, bon, gentil, aimant, non égoïste, etc.
Mais le regard intérieur, de ce que l'on est véritablement, demande une sincérité sans compromis pour comprendre nos croyances, nos tendances et nos désirs pour un Dieu qui soit le contraire de ce que nous sommes capables d'être. Nous nous cachons à nous-mêmes notre vrai visage et donnons l'image de ce que nous aimerions être, mais l'image comme tu dis n'est pas une réalité en soi. Se connaitre et s'accepter tel que l'on est, c'est cela sortir de l'ignorance ; tout simplement parce que, voir son propre conditionnement, rend capable de voir ce que nous ne sommes pas et ce que nous prétendons être. Nous sommes le produit de toute la mémoire de l'espèce humaine, l'histoire de toutes ses conclusions, ses règles, ses traditions , ses croyances et ses tabous. Le monde intérieur dans lequel le "moi/je" 
se meut à exister est l'héritage de la mémoire de comment la vie devrait être selon l'expérience de l'humanité.
Au-delà de toute la mémoire il y a l'inconnue et de tous les temps, au travers les civilisations se sont extirpé des hommes qui ont voulu percer le mystère de la vie, savoir si au-delà de ce qu'ils sont, au-delà de la perception de leur quotidien, il y aurait une autre dimension, une perception toute nouvelle qui ne soit pas faussée par la connaissance de leur expérience du connu. Ses gens nous laissent des traces d'une évidence dans leur sillon, que pour explorer cet inconnu il nous faut être libre de toutes connaissances, de toutes conclusions, de toutes croyances et de toutes les peurs qu'il y a à quitter ces repères bien confortables. Celui qui prendra cette voie où se démantèlent toutes cristallisations du passé, va s'apercevoir que la réalité de ce monde est une vérité qui dérange les bases même de tout ce que l'on peut penser, car nos pensées qui apportent nos imaginations font partir de la mémoire et en elle rien ne peut être neuf, c'est l'entrepôt du passé limité à elle-même.
la perception du neuf, ne peut être que si le silence de tout le brouhaha de la pensée se fait, une importance capitale pour que l'harmonie s'installe au sein de soi-même.  A partir de là, il y aura la liberté capable d'explorer un royaume hors du temps.
Considère toi-même pour ce que tu es, ne juges pas ce qui se profile, ne fuit pas ce que tu vois, ne fait rien pour arrêter de voir ce que tu vois, ne laisse pas la connaissance te dire ce que tu devrais être. Cette observation silencieuse sans parti pris est la transformation du désordre vers l'ordre.

Dans le partage d'une amitié au grand respect, à bientôt.

Ps : Dire que nous sommes la forme créée supérieure à toutes autres formes manifestées de la création, est peut-être acceptable pour la déontologie des meurs, que nous avons bien voulus prétendre, mais les arbres, les animaux, le monde cellulaire du plus petit jusqu'aux plus grands de l'univers, ne peuvent exister l'un sans l'autre nous sommes tous liés, quand nous détruisons, tuons, pour le seul désir de satisfaire notre avidité, nous nous détruisons  nous-mêmes. Il n'y a pas; eux là-bas et nous ici, tout est nous, l'univers forme un seul tout indissociable de lui-même, il n'y a rien qui puisse être divisé.
Mais étant donné que nous nous sommes divisé dans nos comportements individuels, occupé à diviser pour réaliser le monde en couple, en groupe, en pays, en nation. Alors  nous avons l'impression qu'il faut être important dans la rivalité qui excelle, mais là c'est encore l'ego qui produit de l'illusion.
Rien n'existe à par l'union d'un amour qui nous unit, le reste , n’est que de l’inventons pour paraitre dans l’existence, alors que pour existé il faut vivre.

vendredi 17 janvier 2014

Ma declaration d'amour

Tu es l'être de mon cœur, toi et moi sommes liés à jamais d'une manière naturelle, comme les racines sont liées à la terre, la terre au cosmos, le cosmos à l'univers. Nous sommes amour et joie.
Mais ce que tu penses est le fruit de ce que tu as appris et cela t'arrange d'y croire, parce que cela fait de toi, celui qui s'assoie dans les conforts des désirs que tu te donnes, cependant cela nous isole de notre union.
Nous savons au fond que l'existence est quelque chose d'extraordinaire et nous sommes tout azimut, à affût pour arriver à trouver le bien- être, mais c'est l'idée que nous cherchons à soutenir, c'est l'idée de l'union que l'on prêche sur les toits, pour raconter ce qui nous manque vraiment, nous souffrons de voir le désordre dans le monde et tout le démantèlement qui a été fait de l'unité. Le manque d'être lié nous peine, nous voulons nous aimer, mais en même temps il y a la peur de se retrouver devant la trahison et donc devant la peur d'être blessé, ainsi il y a toute sorte d'action pour se protéger de la souffrance, en attendant l'union attend toujours. Pourtant, je sais au fond que je t'aime, que tu n'as pas besoin d'en être digne, c'est simplement la destinée naturelle de ce que nous sommes, des êtres dont la nature est d'être unie .

Le temps a parcouru l'histoire de la race humaine qui s'est activés à faire désespérément la course à son bien-être, ils ont cru pouvoir résoudre le problème de leur réconfort à la détresse de la solitude, mais toutes les actions à travers les âges ont été celle où le premier pas a toujours été attendu comme un sauveur et cela n'a rien fait pour éclairer notre union et en attendant la solitude court toujours les pentes interminables.
Tu es mon cœur, en toi, il y a mon cœur. Que tu oublies peut-être, mais c'est le nôtre, ils se sont divisés au profit de la solitude de l'individualisme, il y a toujours des signes qui nous parlent, mais le raisonnement nous les font mettre de côté, pour des solutions de pacotilles, en attendant l'activité de nos désirs pour être bien nous divise davantage. Tu es mon cœur et tu es l'amour que je reconnais en moi, pourtant nous ne nous prenons pas par la main pour faire ensemble la force de nos aspirations, le raffut nous distrait et nous sommes plutôt subjugués par ce qui se passe sur les places publiques où des réactions se déchainent pour accentuer la souffrance. Alors que tu es occupé à vivre la farandole des médisances des rues, tu te perds, tu te demandes où sont les mains qui tendent vers l'union.

Ton cœur est en moi et le mien est aussi dans le tien, tu le sais au fond de toi. Mais les jours passent avec son chaos qui divise et pris dans un monde où ne compte que le plaisir, il est peu- être normal que tu doutes que l'union soit une vérité certaine. Mais loin de ton cœur et loin du mien, au milieu de l'activité de tes histoires, comment peux-tu être claire et limpide ?

Mon cœur est le tien et ton cœur est le mien, quand le silence des rues cesse, l'union de nos cœurs pourra communier d'un grand amour. Tu es moi, je suis toi et je t'aime comme je m'aime.

mardi 14 janvier 2014

Une quenelle à tout le système en soi

La quenelle est le franc parlé de la démocratie, qui dérange le complot de la racaille totalitaire. La réaction est évidente, museler aux plus vite les paroles qui mettent en danger la pérennité de leurs complots d'intérêts. C'est le coup de bâton sur le nid de guêpes, il n'y a pas besoin de sortir des écoles pour observer leur stratégie. Depuis déjà longtemps et sournoisement les libertés sont bafouées, à l'insu de tous ceux qui ont espéré pouvoir retirer quelque chose des promesses de ses renards. Les combattre en ferait tomber quelques-uns , mais les enjeux sont profondément enterrés dans un réseau de terrier, il est trop tard pour ceux-là, ils sont condamnés à leurs activités de destruction. Ils sont prêts à mourir à la cause de ce qu'ils croient être la vérité.

Mais il y a un espoir, parce que le franc parlé de la quenelle, nous concerne tous, par son infiltration dans les milieux où la rencontre se fait avec les esprits qui prennent les vessies pour des lanternes. Elle fait surgir ce que tout le monde veut se cacher, la réalité. Malheureusement dans l'état actuel des choses les mensonges des renards prévalent sur ce que la réalité s'annonce d'être
Mais, moi, j'invite à chacun d'entre nous, à nous la mettre aussi cette quenelle pour voir où est-ce qu'on en est.
voir si toutes nos actions son aguerrie de malhonnête.
voir si nous sommes aussi capables de nous mentir à nous-mêmes et ensuite à nos semblables.
voir si quelque part, nous aussi, nous ne contribuons pas à la dérive de notre humanité.
voir si des réactions impulsives à comploter sur nos propres intérêts ne sont pas présentes en nous.
Ne sommes-nous pas près aussi, à cacher nos mensonges dans des terriers pour ne pas être débusqués.

la société extérieure est faite de ce que nous sommes chacun intérieurement et tant que le mal est vu à l'extérieur de nous, facile à accuser, facile à ne pas se sentir responsables. Alors, toutes les actions entreprises sur la condition de ce qui se passe dans le monde sera une peine perdue
Si nous sommes capables de révolution intérieure, pour abandonner nos haines et les belles apparences qui font de nous un peu plus que l'autre, le monde serait un paradis. Alors, nous n'aurons pas à nous adonner à des contorsions de l'esprit pour espérer qu'un quelconque Dieu pourrait venir nous sauver, nous sommes les seules à nous sortir de cette hideuse merde


Au nom d’une véritable vie pour soi,  pour que  l'unité, la fraternité et la liberté, existent pour tous,  ne donnons pas notre énergie à nourrir les pensées des renards, sans notre consentement, ils sont mort.

lundi 13 janvier 2014

l'humanité en dérive ?

Lettre à un ami 

l'humanité est d'après ce que tu dis, une masse de personnes inconscientes de leurs actes, la maison est en feu et  on ce fait les ongles. Prendre conscience est déjà une bonne chose et de plus en plus le font , parce qu'il y a une pression insoutenable, qui nous choque et mobilise nos esprits à s'interroger. Nous savons que de toute évidence la vie offre à l'homme, une autre destinée, celle-là n'est pas la profonde aspiration que nous pouvons pressentir de la vie.
Mais si nous sommes concernés, la prise de conscience périphérique ne suffit pas, il nous faut remonter jusqu'aux racines, pour voir où sont les maraîchages dans lesquelles nous nous sommes enfoncé. Pourquoi nous avons les réactions que nous avons à se la couler douce, comme tu le dis si bien, alors qu'au fond nous sommes très rarement joyeux dans la vie quotidienne
Alors que les actes de nos indolences nous font fermer les yeux de notre conscience, pendant ce temps le monde va à sa perte, l'inconscience de nos actes que nous pratiquons malgré tout, est la contribution que chacun apporte à la souffrance de l'humanité.
L'humanité est le réservoir où l'individu va puiser sa conscience et réagir à son tour avec les mêmes outille du passé, nous n'inventons rien, nous sommes tout simplement le résidu de l'humanité, nous sommes copie conforme condensée de million d'années, nous répétons les traditions, l'éducation, les règles, les conclusions, les vieux tabous, tous ceux-là sont les dictatures de nos mémoires, qui ensuite surgissent en pensées et nous nous  passons à l'acte en construisant le monde de nos envies. Voir que nous sommes assujettis à la mémoire de l'humanité, que nous vivons la vie comme elle devrait d'être d'après cette mémoire. 


C'est la vie que nous désirons volontairement, elle est acceptée sous d'alléchantes promesses mensongères, la vie magnifique où l'on trouve de la sécurité, celle qui a conduit le monde dans l'état que nous connaissons aujourd'hui. Nous devrions nous poser la question, s'il existerait une autre sorte de vie, sans les dictatures du conditionnement.



Tout cela parce que nos cœurs sont occupés à ce la couler douce, là où se trouvent ses plaisirs de la vie, qui sont considérés important pour assouvir la demande du nombrilisme ; dont l'activité empêche le silence et la paix du cœur à prendre totalement conscience que notre vraie nature est d'être libre des miettes de liberté que l'on nous donne.
Belle vie à toi, il y a déjà trop de monde qui s'apitoie dans le monde. De la joie de vivre, c'est ce que les hommes ont besoin, afin que cesse la dérive. À bientôt.   

samedi 11 janvier 2014

UN MOT A L'INSATISFAIT pour ce qui se passe autour de lui et en lui en ces jours

Après des temps de misère, le drapeau de la fierté fut hissé sur son mât, c'était dans les jours où le soutien de la ville, était pourvu par des guerriers de l'abondance.
Ils s'en étaient allés piller les pauvres et avaient ramené de la victuaille sur la planche, toute la ville était joyeuse et les rats ont été aussi bien engraissés, car, ils ont pu profiter de l'aubaine. Le plaisir était là et personne ne se posait de questions puisque tout allée bien pour eux.
Mais là-bas loin de leurs yeux, postés devant les murs de leurs désespoirs, les pauvres s'activaient à reconquérir des jours meilleurs. Les gémissements et les complaintes dans l'air, montaient dans un tumulte assourdissant et la voix de la joie était presque inaudible, elle appelait à travers les brèches de ces murailles de désespoir, à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.

        -Mais où est ton attention pour voir, quand se fera le silence de tes peines, jusque            à quand pleureras-tu sur le sort qui n'est pas le tient ?

Après toutes actions à combattre le mal subi en retraite, comme un renard rusé insidieusement, celui-ci parvenait à réapparaître en bienfaiteur pour sévir sur la vie des pauvres enfants du pays des débonnaires, en leur proposant une solution .

La joie dans sa bonté par les brèches, appelait encore, à ceux qui avaient des oreilles pour entendre.

       -Quelle est cette agitation dans ton cœur qui a pris peur de ne pas mériter le trésor        du voleur. A-t-il séduit ton cœur que tu sois esclave de tes désirs puisé dans leurs             promesses ?

Renards, rats et voleurs, adorent la mélodie de ton désenchantement leur force se trouve là, c'est leur terrain de prédilection, où s'alimentent leurs belliqueuses intentions

Celui qui répond par l’épée mourra par l’épée, mais celui qui répond par les instruments de son cœur, atteindra son ennemi.