mercredi 29 mai 2013

la pensée du jour


Où être, Mots d'elixir

Où être

Où être, quand le matin n'arrive guère
Où être, quand la justice est l'injustice
Où être, quand le pas certain s'enlise
Où être, quand la confusion règne
Où être, quand le désir s'adonne à la vanité
Où être, quand l'attente tourne à l'insatisfaction
Où être, quand la faim rencontre la disette
Où être, quand l'ennuie de l'exclus s'accroît
Où être, quand la peur de la peur s'engrange
Et où être, quand enfin tu écoutes ton cœur

Au-delà d'un regard apitoyé
Au-delà d'alléchant gout qui accroche
Au-delà des écrans de propagandes
Au-delà des joies de pacotille brillante
Au-delà de fuite qui ne trouve pas le repos
Au-delà des douces assises confortables
Au-delà de l'agitation rusée de l'instinct
Au-delà du fardeau des histoires passées
Au- delà des regards esclavagiste
Où être ? Au-delà de ce qui se  dit devoir être.


samedi 25 mai 2013

un mot de l'auteur

L'art de la vivre est le déploiement d'un cœur qui croît vers l'harmonie faisant l'ordre dans le chaos pour voir toute la splendeur de la beauté de l'existence, elle met de façon palpable l'essence de cette beauté à la vue.
Un regard perçant au-delà de l'ordinaire est le cœur de l’homme libre d'illusions. Cette aspiration est celle de tous les êtres au milieu du tumulte quotidien qui se demandent si la vie pourrait être différente, mais faut-il s'aperçoivent pour cela qu'il faut regagner le silence du fond de soi où l'acuité s'élargie à chaque émerveillement de la beauté que la vie offre.
Ce parfum est une étonnante magie qui ne se prédestine pas à celui qui est dans l’affût d'une vérité, mais à celui qui a cessé toute activité qui brouille la perception de ce qui a toujours été là... Le sublime.

Un CD, Élixir de mots, lu par l'auteur, poèmes et interludes tirés de ces ouvrages à ne pas marquer, ainsi que  trois livres : Urgence d'aimer, Mélodie de la vie et destin à déjouer.
Où il aborde les grandes questions qui préoccupent la condition humaine et fait l’état d'une conscience où la responsabilité de chacun est en cause.

Pour plus d’information écrivez dans commentaire. 

La pensée du jour


jeudi 23 mai 2013

Tendresse, la poésie des amoureux de l'amour

La tendresse


Dans un moment sublime
Une caresse effleure ton cœur.
C'est la brise de la tendresse

Née de la beauté des beautés.
Elle hisse vers l'extase

Puis sans lendemain te laisse.

L'élixir encore sur tes lèvres.
Mémoire fraîche de douceur.
Voudrait tout recommencer
Et en faire son terrain favori.
un désir  désirable .

Tu languis de son parfum

Au tournant tu l'attends.
Ne point espérer, ni croire

Que si ton attente est vivace

Qu'elle soit alors ton serviteur
Pour bercer ta romance

  
Ce qu'elle est, ne peut se prendre
et convoiter à satisfaire.
Mais comme l'air que tu respires

Elle a sa propre destinée.
Libre et sans but est sa nature.
Croire la détenir est illusion.

Étanches la soif de ton cœur
à la source vivifiante et pure.
plutôt que du souvenir joyeux
à Ruminer des hiers mélancoliques
ne laisses point ces idées habiller
l'authentique et sa beauté.

Clairière silencieuse, où la vie abonde

Où la biche qui boit craint le raffut.
Où tendresse est une espèce fragile.
Si l'attente arrive et demande sa part

dit que  tendresse n’est point acquisse
Et qu'elle n'est réelle que si elle est libre.



lundi 20 mai 2013

Libéré de la peur. Que serait l'esprit de l'homme? Texte



Toutes les pensées qui peuplent la conscience créée la réalité d'un connu qu'on ne veut pas quitter et donc engendre la peur d'être anéanti, la peur de perdre la familiarité qu'on a avec le monde qui nous entoure. La course vers ce confort de sécurité est la fuite de la rencontre de l'inconnu.
Depuis des décennies la peur a été utilisée pour garder l'esprit dans l'obéissance, un outil de contrôle qui a été utilisé durant des décennies. Depuis l'enfance nous obéissons aux règles sous la peur d'un châtiment, nos esprits sont modelés à mémoriser des comportements pour avoir la récompense et l'approbation des parents et des maîtres.
Nous entendons constamment comment nous comporter, la société raisonne dans nos pensées, les gouvernements, les institutions, les traditions, les religions nous indiquent le chemin sur lequel marcher. Il y a là, récompense ou châtiment. Fierté à être glorifié pour avoir accédé le haut de l'échelle ou bien la honte de ne pas avoir été capable d'obéissance et être banni puis oublier .
Innombrables sont les angoisses qui gèrent nos actions et qui dirigent l'esprit à être dépendant des récompenses d'un ordre établi.

Alors que nous sommes volontairement consentant à la médiocrité que nous vivons dans ce monde tyrannique. Nous inventons le réconfort pour oublier notre condition, en soutenant que nous sommes libre de devenir ce que nous voulons être. Un état d'être qui est contrôlé par nos désirs qui provient du même système, géré par l'angoisse de la réussite. Néanmoins, l'entité qui se nomme MOI/JE, a l'illusion d'avoir libre arbitre pour faire ce que lui semble bon pour arriver à ses fins.

Ce mécanisme inconscient est un fait réel qui se reflète dans nos sociétés. Les envies nous sont insufflées pour accomplir le dessein de l'esclavage, gardant l'esprit prisonnier dans les activités qui nous semblent primordiales. Tout se répète jour après jour, de la même manière gardant nos esprits occupés à faire et à refaire pour devenir, mais au bout il n'y a que du vide, l'illusion de l'idéal que la pensée projette.

Pris dans ce que projettent les peurs de ce qui arriveront  demain, l'esprit s'attèle par toutes sortes de combines à produire ce que l'on appellera la sécurité, amasser, faire des réserves, souscrire des assurances, qui vont épargner la vie que l'on a acquise et qui selon le Moi doit absolument être préservé à perdurer, écartant même la fatalité de la mort à plus tard.

Du coup l'esprit est si occupé à cause de l'activité que lui suggère la peur, il ne connaît que le flot de pensées envahissantes qui invite le penseur à se perdre dans la tumultueuse vague de pensées, qui rend l'activité fébrile avec tant d'occupation à prévoir.

Libéré de la peur. Que serait l'esprit de l'homme?

Une question difficile à répondre quand l'occupation est de fuir les peurs, pris dans le cercle vicieux, à obéir, pour ne pas rencontrer les souffrances qu'elles prônent.

La peur est tout simplement le spectre du manque de gloire allouer à l'ego qui en a besoin pour exister. Et l'existence de cette entité est la somme de toute la mémoire qui a été constituée par son expérience. Celui-ci devient l'image d'un soi à laquelle il y aura identification, puis sera rongé par l'angoisse de ne pas être reconnue dans l'aspect qu'il s'est représenté.

En traçant le mouvement du phénomène qui anime notre conscience, nous aurons des chances de discerner l'illusion, qui se joue à notre insu et emprisonne l'esprit à confiner ses activités aux limites de la pensée, parce que s'étant identifié s'étant attaché à son image, cela crée une résistance, cette résistance est la souffrance dans toute son envergure et le lâcher pris crée la peur de quitter la connue. Rencontrer l'inconnu n'est pas tant un problème, mais quitter la familiarité qui réconforte est le grand dilemme parce que nous nous demandons comment vivre sans l'aide de l'influx qui donne la satisfaction à tous nos désirs.
La peur nous fait croire, que ce qu'on en retire est essentiel. Alors, cela crée une dépendance.

Plus la croyance est forte, plus la dépendance est légitime et acceptée.  Cela produit des névroses qui s'installent en compagnie de l'angoisse du manque, du vide et de la solitude. Tous ceux-là nous cours après dans tous les aspects de la vie.
Chacun de nous pouvons constater ces phénomènes en les observant dans ses propres comportements et ses tendances, si nous sommes attentifs nous verrons que nous réagissons par l'instinct dans des habitudes bien installées, qui sont nos pensées de la vie quotidienne. Y prendre note est capitale parce que ces pensées font surgir les émotions, qui réagissent dans l'action qui fabrique les relations humaines. Il sera flagrant de constater que les relations sociales sont la manifestation des pensées que nous cultivons. La société est le résultat de comment nous vivons intérieurement,  s'il y a confusions et batailles d'une pensée à une autre, d'un désir à un autre, ces mêmes désordres seront reproduits dans les phénomènes de société et nous rappellerons qui nous sommes. Pourtant, pour la plupart
, nous sommes indifférant à ce qui se passe, nous ne sommes pas concernés par la terrible condition qui ravage l'harmonie et la clarté de nos propres maisons, nous ne faisons aucune action parce que notre attention est absorbée par l'affairement, insurgés de constater les aberrations et les dysfonctionnements qui porteront préjudices à la paix que nous
avons acquise dans le confort de nos vies, pour lesquelles nous sommes prêts à tout pour que cela perdure.

Mais la terrible angoisse qui fabrique la solitude, reste intact en musique de fond et la question revient, de savoir s'il est possible d'avoir une vie où il y a une liberté de vivre, dans la joie et l'harmonie entre les hommes, sans les terribles angoisses qui tyrannisent nos quotidiens.

Est-ce un genre d'existence possible à l'homme de vivre?... Non pas  dans la paix d'un monde idéaliste, réalisé par la pensée, mais en réalité dans le quotidien que nous connaissons ici et maintenant.

Pour celui qui voit l'importance d'un tel défit, toute l'attention de son être sera consacré à prendre conscience de l'impact que le monde de la pensée aura sur ses actions.
Il réalisera à l’issue de son observation, que ses pensées produisent le genre de vie qui condamne l'esprit à s’aliéner de l'unité, cette seule réalisation est le début d'une sagesse, une liberté pour parcourir l'au-delà de la perception habituelle.


Le centre depuis lequel l'homme prospère, s'arrête
à la limite de son connu, ses peurs sont les frontières qui lui ferment les portes vers son épanouissement.





A lire aussi... 

jeudi 16 mai 2013

chère amie Texte


(Puissions-nous être libre de nos compulsives actions de défense qui nous privent d’être l’artiste de la beauté 

Si seulement oui...Mais nous sommes quand même obligés d'être sur la défensive pour préserver également ce qu'il y a de beau en nous face aux sombres aspects de l'humanité.)


Chère amie  

Alors que nous sommes occupés à nous débattre d'un monde qui sans répit nous met sous la pression de ses demandes, nous nous enfonçons dans le souci de l'intégration pour être reconnu et avoir la récompense qui promet la sécurité, afin d'éviter la souffrance.

L'occupation à réagir, pour éviter la souffrance par toutes sortes d'actions où nous pensons pouvoir trouver la sécurité, est un affairement qui devient vite très important, ce sont les occupations de nos esprits qui se trouvent être l'héritage des courants de pensée qui se puissent dans la mémoire de toute l'histoire de l’humanité et qui se répète à travers la conscience que l'on partage tous.

Ainsi occuper à nous protéger, il y a projection d'un monde idéal, l'action est celle d'atteindre à travers la course traditionnelle à l'argent l'accumulation de bien qui réconforte et bien sûr cette activité est liée à des croyances, figer dans des conclusions amenant le pays, le groupe, le couple et indubitablement l'individualisme à s'isoler et c'est cet isolement qui divise les hommes, car l'occupation est centrée sur le centre concentré du MOI/JE

Cet affairement est l'ennemi de l'unité des relations qui se déchirent dans l'incompréhension de tous les ego s qui prônent tous la vérité de leur seul petit monde dans une propagande à ce que tous y participent. Là, il y a une division inévitable.

Voir l'activité de son propre ego dans son activité est une performance qui relève  du miracle vue les conditionnements qui font que l'attention est dirigée par les modes de vie quotidiens à se voiler la face en jouant le rôle de qui on devrait être, et surtout pas qui on est vraiment, d'où une grande difficulté à voir la réalité s’installer, on la cache tout simplement dans un tissu de mensonges qui est devenus une routine pour la plupart.

Ses murs de défenses doivent être détruit, l'intelligence est de voir que ces murs fabriqués contre nos peurs nous emprisonnent et nous cachent la perception de la beauté de l'amour et de la réalité. Monter ces murs, est une erreur, la guerre ne se gagne pas par la défensive d'un monde à fuir, il n'existe pas d'ennemi à l'extérieur de l'homme.
l'homme est son propre ennemi.
Il y a de la sécurité, que si l'activité du MOI vient à être en berne.

Puissions-nous être libre de nos compulsives actions de défense qui nous privent d’être l’artiste de la beauté

Beauté et tendresse Guy

La pensée du jour

     Cliquez sur l'image afin de l'agrandir
                                             


dimanche 12 mai 2013

Serions-nous si ancrés dans cette manière de vivre? texte


En attendant que l'innocente jeunesse se meurt par la main qui sculpte les générations à l'obéissance, arrive vite les jours où l'ennui et l'insatisfaction agacent. Il semble que nos esprits font état d'un manque d'énergie, et stagnent dans la monotonie de l'habitude. Les pensées se répètent jour après jour, l'esprit s'agglutine à l'occupation de ce qui est la routine de la vie, le train-train quotidien du ménage, du travail, jusqu'au plaisir qui se répète inlassablement avec la même couleur de fond et de rares instants de joie. Pourquoi ??

Serions-nous si ancrés dans cette manière de vivre, si occupé à trouver une façon de fuir l'insatisfaction, que le questionnement ne vient même pas à l'idée ?

Avec l'âge vient l'aigreur de la vie, où les expériences donnent raison de s'enfermer à double tour derrière des conclusions rébarbatives, qui sont les bonnes croyances d'une sécurité derrière lesquelles, on pense que la vie sera moins dure à avaler.
Finir ainsi dans l'isolement de son idéal est le destin que l'homme se propose de vivre, sans jamais se demander pourquoi la vie doit-elle être ainsi, si misérable et vide de sens, doté d'une course effrénée à l'argent où l'angoisse du manque, taraude l'esprit dans un comportement hypnotique.
Faudrait-il se demander, pourquoi les comportements humains restent-ils insensibles à leurs propres destins, qui plongent les hommes dans le tourment d'un désastre inévitable à souffrir, infliger par ses propres actes ?
Mesquineries s'activent à travers la quête de l'appât du gain, induisant la guerre et la famine en résultats d'une cruauté sournoise.
Après tant de décennie nous en sommes encore là, aux balbutiements d'un changement où la paix dans les esprits demande à voir le jour.
Le monde tel que nous le voyons, n'est que la projection de chaque pensée que chacun de nous entretenons, le monde n'est pas différent de chacun d'entre nous, le monde c'est nous et nous sommes le monde.
Si aucune action n'est prise individuellement à prendre part à la responsabilité des réactions que nous avons, sans accuser la cause qui l'a produite. Nous remettrons à plus tard de faire face au désordre qui ravage la paix.
En questionnant les habitudes qui maintiennent nos actions en place nous pourrons nous placer en observateur et voir ainsi les rouages qui maintiennent nos esprits dans l'ornière d'une vision obtuse

Au-delà de notre raisonnement habituel, au-delà des perceptions connues, quand nous voulons bien confronter les barrière de la crainte et laisser derrière nous le connu rassurant, se trouve une liberté qui révolutionnera les bases même sur lesquelles s'appuie l'humanité. 



mercredi 8 mai 2013

La pensée du jour


Chère amie,


Il arrive qu’on pleure, non pas parce que l’on est triste, mais tout simplement parce que l’on à été fort(e) trop longtemps et qu’aujourd’hui on est fatigué de se battre.

Chère Amie,

Oui la vie a toujours été une saga de combat et autour de ce fait il y a de la frustration, du désarroi et parfois même du suicide, c'est un fait admis par la majorité des hommes qui ont acceptés hélas cette évidence comme un fait imparable.
Toute une vie à combattre la tourmente et la confusion qui s'est installé nonchalamment, tout cela parce qu'il y a du malaise à subir l'absence d'amour, le manque de liberté et l'angoisse grandissante de subir la souffrance... Alors que nous voulons embrasser la vie avec Sa Grandeur et sa joie, mais  nous nous retrouvons à récolter des miettes avec lesquelles notre faim n'est guerre assouvie.
Certainement l'état de lassitude se fait ressentir, certainement des larmes de frustration coulent d'un cœur amoindri.
Mais est-ce là, la destinée des hommes à vivre ainsi et est-ce que l'humanité est vouée à ce sortilège ?
Pour répondre il faut se mettre à l'évidence que l'harmonie et la sérénité de l'esprit ne peuvent apparaitre dans un esprit préoccupé à combattre ses démons. Ne vas sans dire que c'est la pratique de toutes les décennies dont la plus grande majorité des hommes n'ont pas trouvé leur répit.
Le réseau (network) qui contient la conscience a appris que combattre est une façon de faire pour exister, il ne connaît pas autre chose que le programme qui a formaté les esprits d'hier et d'aujourd'hui. C'est l'héritage qui traverse les générations, et impose ce qui est bien ou pas bien de faire pour atteindre la récompense du bonheur.
Il y a donc cette activité fébrile, d'un désir à la course d'un bien-être dont le sujet fera tout pour atteindre sa satisfaction.
Ici, comme le feraient deux amis, il y a lieu de se poser la question s'il y a une autre approche au problème de la difficulté de la vie.
Mais, il sera avant tout nécessaire de comprendre la nature et les motifs qui font que l'esprit de l'homme soit dans la tourmente d'une occupation constante à atteindre une meilleure place, une apothéose à son existence.
Tel a été le questionnement implicite de l'homme de tous les temps, pour  savoir si la vie pouvait être autre que ce qu'il se retrouve à vivre. Bien que nous soyons à l'époque où nous avons les techniques les plus écervelés, nous n'avons pas acquis l'intelligence capable de résorber la substance qui fait souffrir les hommes.
Serait-il parce que toutes les connaissances que nous avons emmagasinées au fil du temps sont l'anti-intelligence et que cette connaissance pollue gravement à la clarté d'une vérité toute simple ?

Nous avons en nous la somme des connaissances que l'homme a pu cumuler au fil des temps, lesquels influencent notre perception de la vie. Nous voyons la vie d'après comment elle devrait être à travers le prisme de nos entendements, cristallisées dans nos mœurs, d'où surviennent nos expériences qui fabriquent ensuite les habitudes que nous acceptons à être la vie sans questionnement. Il y a la crainte des représailles de l'ordre établie qui s'organise au sein d'un troupeau abêti et bien docile.
Dans cet ordre établi, promiscuité s'en suit dans la dualité d'une liberté toujours retenue par des règles, au sein d'une confusion entre un mal et un bien discutable. Le combat se fait au sein d'un cercle fermer où les limites sont les barrières de la peur.
Si c'est là où se vie l'existence, les combats s'enchaîneront jusqu'à la tombe .
Alors, reste à savoir s'il est possible de s'extirper du conditionnement d'une existence, qui fait rage  entre des barrières de confortables sécurités que l'illusion nous fait miroiter au sein du troupeau.

L'ignorance d'être pris dans l'inconscience d'une manipulation fait l'objet d'une contribution à tout un système qui s'autoalimente et garde le statu quo.
Mais si tes larmes, non-faites de tristesse, mais de frustration, coulent  pour être restées entre les murs de tes désirs si longtemps. Observe alors l'automatisme de tes réactions, tes tendances, tes croyances, comment tu te retrouves à réagir dans un instinct mécanique.
À la vue de ce désordre un rétablissement de l'ordre sera une toute nouvelle perception qui apparaîtra naturellement comme une fleur qui s'épanouit. la vie sera alors, la vie que tu créeras  toi-même, c'est la fin d'un combat à fabriquer ce qui devrait être, ce qui est, est là.



Le bonheur que l’on recherche est relatif aux manques que le quotidien nous fait ressentir, mais au-delà de ce que l’on peut prétendre, il y a une plénitude qui ne se dévoile que  quand la
quête se termine.


Puisse ta vie être douce et vraie.
Guy R