dimanche 16 juin 2013

Ne laisse pas ton eau si claire



Ne laisse pas ton eau si claire
Gardes toujours ta force pour dire la vérité
Ne crains pas les représailles tu ne mourras pas
Ne laisse pas ton eau si claire être troublée de faux
Tu ne seras plus la beauté qui apaise
Pris sur les pas de la peur et de l'envie
Tu n'auras pas plus à gagner
Qu'un instant de répit à ta fuite
Après cela tu seras l'esclave de ta propre voie
Tu auras perdu ta force et ta passion
Une seule petite peur peut te faire tant de mal
Tomber dans l'abime de toutes tes tourmentes
Ne l'écoute pas ne fuit pas, reste là, avec elle 
Tu verres sa vérité
Le rôle que tu joues si bien est la cause de ton désarroi
Tu te fabriques une image et te caches derrière
Tu as peur d'être vrai et d'être libéré
Tu te racontes tant de choses pour t'excuser
Et à tout cela tu vas t'identifier
Se défaire des grippes de la génétique
Un destin figé disent-ils !?
Impossible n'est pas une vérité

samedi 15 juin 2013

La pensée du jour


Sommes nous vraiment séparés?

La coutume de l'existence, pousse à croire que le sort des hommes est voué à être la proie de ses craintes, les relations restent un labyrinthe, qui désespère de voir le jour de la clarté et de l'harmonie et à cause de cela il y a un engouement au sein de la conscience pour façonner les concepts d'une vie idéale, qui apaiseraient les esprits de son mal-être.

Alors que les relations restent dans le cycle de l'arrogance, de la division et de la confusion, les idées diverges de multitudes de croyances qui imposent une solution et divisent davantage les hommes.

Mais quoique nous fassions l'existence reste un vaste réseau de connexion que nous ne pouvons pas nous en passer. Indubitablement nous sommes liés par nos besoins, nos attentes et nos demandes à l'autre, la société c'est nous ; celle de l'ensemble de nos actions et nous ne pouvons pas en être séparés. Même si nous nous isolons les uns des autres, les pensées restent les nôtres, elles sont l'héritage de l'histoire de l'humanité en chacun de nous.

Ainsi l'autre, demeure un miroir de ce que nous sommes, mais à cause du martèlement des propagandes de l'idéalisme nous nous identifions à l'idéal de ces courants de pensée de comment, nous devrions être, mais pas à ce que nous sommes vraiment. Alors, nos esprits se sont atrophiés dans l’individualisme et ne perçoivent que le concept de nos propres inventions, un confort individuel d'un état d'être à atteindre, ainsi notre champ de vision du monde s'arrête aux frontières de nous-mêmes, et à cause de cette séparation, l'autre reste un étranger qui suscite de l’inquiétude.

Mais si nous savons observer nos réactions à travers nos relations nous verrions bien qu'elles suscitent parfois en nous de la peur, du plaisir, de la colère, de l'envie, de la jalousie, de la comparaison ou de l'indifférence et tous ses attraits que nous partageons tous, fait de nous l'être que nous sommes. Nous pouvons constater ces phénomènes dans ce miroir de la relation et si nous sommes attentifs à leurs mouvements, le voile de la confusion se dissiperait.

Ses facettes de nous-mêmes doivent être mises au grand jour, afin d'être comprises, pour ainsi pouvoir agir avec prudence et bienveillance sur l'environnement et envers nos semblables, sans être le jouer de l'idéal, du rêve ou de la croyance qui gouverne les comportements dans l'inconscience.


La relation dans laquelle nous interagissons est ultimement une porte par laquelle nous pouvons voir nos propres caractéristiques dans l'autre et comprendre que la crainte d'être nu à son égard est un mirage que l'esprit fabrique .

jeudi 6 juin 2013

La liberté de l'esprit (Part 2)


L’esprit n’est-il jamais sans activité ? (partie n°2)
Si un jour quelqu'un vient à toi et te raconte une merveilleuse histoire celle d'un conte de fées où à la fin se trouve le bonheur d'être heureux éternellement. Au fil du temps il insiste pour que cette vie soit aussi la tienne, qu'il te donne l'envie d'y croire par toutes sortes d'arguments suaves, que ton désir devient une passion qui ne te laisse pas de choix d'être jubilant. Cependant, chemin faisant tu commences à craindre de rater le but, tu te sens seule et loin de ce bonheur à atteindre, mais des gens remplient de bonnes intentions viennent te consoler et soutiennent avec toi ton désir, dans les moments durs on te prend par la main, on te promet que tu y arriveras, si tu écoutes bien leurs conseils. Puis finalement à force de soutien tu arrives à te persuader tout seul, tu provoques toi-même l'acharnement de l'ambition pour accéder au rêve qui est maintenant bien instauré dans ta mémoire tellement que cette histoire fut répétée pour toi, toutes tes actions dans lesquelles tu es maintenant enrôlé, a alors quelque chose à voir avec cette destinée glorieuse, qui est maintenant implantée en jalon sur le sentier de ta destinée.
 
Et arrive un jour sur ta route indubitablement au détour d'un événement quelque peu hasardeux un manque de jalon, où tu t'arrêtes pour voir et sans les jalons le doute du bien-fondé de ta conviction est ébranlé. tu entends dans le silence qui survient par l'arrêt de ta marche bruyante, une voix fragile presque inaudible, mais tu veux savoir ce qu'elle a à dire, tu t'aperçois que même ta respiration gêne l'écoute, alors tu portes une grande attention, aussitôt le mouvement de ta poitrine devient silencieux et tu peux entendre enfin clairement ton cœur te dire, que l'histoire que tu t'es appropriée de comment la vie devrait être, n'est qu'un mensonge, que cela n'a rien de vrai, ce n'est que le conte féerique que l'on raconte à ceux-là qui n'entend plus dans le silence de leur cœur.

Quelle sera ta réaction devant une telle révélation ?
Continueras-tu à garder les habitudes d'un mode de vie qui consiste à nourrir l'espoir ?
Ou sera tu libres pour enfin explorer l'aspect de la vie sans le rêve ?

La plupart sont frappés par la surdité et vont chercher dans l'histoire de leurs rêves un ancrage, pour affiner la sécurité de leur réconfort. La pensée cette incroyable machine peut créer de belles illusions qui capturent adroitement sa proie dans l'idéologie de son imaginaire. Très peu y échappe pour voir l'ampleur du mensonge et qui pourront balayer les traces que cette histoire a laissées dans les circuits de leurs cerveaux, devenus névrotiques de conditionnement qui répètent encore l'action de l'espoir pour lequel la liberté est sacrifiée.

Toutefois, habiterait en nous un engouement autre que l'acharnement de satisfaire la vie qu'on croit devoir vivre. Si chacun, nous étions résolus à débusquer l'illusion qui frappe l'esprit à concevoir des besoins irréels et qui font miroiter une stabilité dans une sécurité éphémère. Nous serions sur nos gardes, attentifs à observer nos comportements et nos tendances. Nos désirs sont issus de la mémoire et mettent en place la directive d'un programme à suivre pour y parvenir. La pensée devient alors une maladie dans le domaine psychologique, car elle créer du temps, l'espoir qui mène à la récompense pour avoir gravi les étapes, un système de méthode à suivre pour accéder à un autre état que celui que l'on vit en réalité, la pensée créée  le temps et  donc l'excuse pour remettre à plus tard l'abandonnement de nos illusions. Nous sommes jaloux, mesquins, violents, envieux et disons, que j'améliorerais mon état avec le temps, alors que, entre-temps la mesquinerie et la violence continuent ses ravages.

De ce fait, à celui qui découvre pour lui cet état de fait, il lui sera vital de l'explorer sans faire des actions pour changer, amélioré ou critiqué, autrement il soutiendra les idées colonisatrices de son système de pensée, qui dictent l'action à suivre et à devenir ce que chacun devrait être, pour le plaisir de toutes les bonnes idées à consommer en espérant le bonheur. Une pâture que tous les moutons en raffolent.
Et tant que nous sommes dans les rôles de vivre ce que devrait être la vie, nous ne verrons pas les choses telles quelles sont, mais comme nous avons appris que nous aimerions quel soit.
Avec tout le martellement des générations à faire concevoir une directive que l'esprit doit suivre comme une réalité exclusive, l'anarchie s'est emparée d'une multitude de voies qui sont les théories de diverses façons d'y arriver, toutes mises en place par l'invention de la pensée, au grand plaisir des incongrues en quête de sauveurs qui proposent des méthodes à la découverte de l'illumination. Là encore le silence reste inconnu du penseur qui s'y engage. L'homme erre toujours dans le désordre de son propre affairement et sera toujours prisonnier de ses anciens schémas de vie. Mais s'il y a cette vitalité à observer ce qui se passe sans déranger ce qui est. L'intelligence fait apparaître la perception de l'ordre naturel des choses et on s'aperçoit que tout le reste n'est qu'une invention, donc une illusion qui, bien sûr influence, mais n'a aucune réalité.

Il n'y a rien de mystérieux ou d'extraordinaire à trouver au-delà de l'illusion que crée le mensonge, seulement une perception sans le voile du connu. Mais ce que nous cherchons pour la plupart c'est plutôt quelque chose de sensationnelle qui apportera grande satisfaction à la condition que fuyons.

Quand tu insistes à te rassurer que la voie que tu poursuis à au bout le sens du bonheur, demandes toi, qui est cette entité si acharnée qui insiste, tu t'apercevras que la somme de tout ce qui fait ton « MOI » est à la quête de quelques sordides languissants  espoirs de l'idéale, qui indubitablement s’entoures de mystères et de confusions.
Là encore, tu vois le pouvoir de l'illusion que fait régner la pensée, un fleuve populaire charriant toute la misère du monde. L'agitation de la pensée reste à son alerte maximale, il y a grande agitation dans l'activité de la conscience, la pensée dans son escalade à l'imagination perd la raison et décide de construire une sécurité, s'adonnant à spéculer sur l'état du contraire de ce qui le rend mal-à-l'aise, préoccupé par son bien-être toutes méthodes qui le conduiraient à son idéale sont convoitées.

La nature de la pensée est donc le mouvement qui fabrique l'idée d'un état de perfection et donne les outils pour atteindre l'objectif imaginé, c'est le facteur de tous les affairements quotidien des hommes. Et avec cela l'ambition, l'envie, le désir et la convoitise créent l'arrogance de la guerre

Bien sûr, il y a une activité de la pensée qui est nécessaire au maintien d'une discipline physique de la vie courante, donc la pensée doit prendre sa place à ces points de charnière pour être capable de cohérence d'un quotidien sein d'esprit. Mais quand elle s'adonne à une course folle dans l'imaginaire pour se projeter dans le rêve et la croyance, cela crée davantage de brouillard sur la perception de la réalité.

Peut-on alors rester avec la réalité sans que ne soit créée une image de comment la réalité de la vie devrait être ?

Cela relève du défi ! Miracle de toute une attention à ne pas perdre la clé, une passion pour la beauté, où l'essence de celle-ci transporte hors de toute action l'activité de la pensée. Seule l'éternité peut diluer le temps de l'assouvissement et laisser la place à la sensibilité spontanée de la naturelle beauté de la vie.
Là où la pensée inter faire avec la beauté, la vérité, l'intelligence et l'amour, ceux-ci perdent leurs réelles significations et ne deviennent qu'une pâle explication de l'intellect qui transforme ce qui est, en sa propre compréhension du connu. Dont l'action de son funeste mécanisme se confine vers l'isolement la division et la confusion
.
Tuer la beauté est ainsi un acte de l'ignorant dont l'action est la cause de ce désordre que parlent les prophéties infernales, qui sont la suite logique du véritable carnage que la pensée dans l'ampleur de son désordre, ira jusqu'à atteindre de cancer un membre saint. Néanmoins la paix des lieux silencieux est l'
antidote de l'angoisse, la gangrène des jours sombres à venir que la pensée cultive. La force et la sécurité seront à celui qui s'éloigne du syndrome hypnotique du brouhaha de la pensée.


Le centre depuis lequel l'homme prospère, s'arrête
à la limite de son connu, ses peurs sont les frontières qui lui ferment les portes vers son épanouissement.


La pensée du jour


dimanche 2 juin 2013

La liberté de l'esprit (Part 1)

Part 1
L’esprit n’est-il jamais sans activité ?

La joie la plus grande est de réaliser l'absurdité de toutes les tracasseries que l'on se fabrique, quand au-delà de cette agonie une liberté se laisse distinguer, c'est ici un aspect de la vie qui fût depuis toujours la préoccupation de l'homme... Savoir si au-delà de toute cette vie de bataille, occupé à sortir de l'état d'insatisfaction, se trouve une véritable plénitude.
Un problème bien complexe ; car pour la plupart nous passons notre temps à dissiper notre énergie à nous débattre dans toutes sortes de situations de l'existence, espérant trouver une issue qui balayera la souffrance de l'incertitude. Si nous voulons bien observer, cette occupation est l'histoire piétinante de l’existence  de toutes les générations, où la confusion emboîte le pas, vers des descentes vertigineuses dans un chaos d'incertitude où se désagrège l'accès à la clarté d'une harmonie.
Ainsi le mouvement de la conscience se perd à jamais dans des actes à la satisfaction immédiate créant l’intérêt de l’ambition qui apporte avec elle  une dégénérescence sur la qualité de l'existence qui reste 
superficielle. Pris de routine, l'homme ne peut s'extirper de son affairement destructeur.
Depuis qu'il existe, tout ce qui a pu se mettre en place par la pensée ne l'a pas libéré, toutes les stratégies entreprises ont été des remèdes qui se sont avérés inefficaces et on crée l'éloignement de la simplicité vers un univers mécanisé où la pensée a fait des prouesses innovantes, gardant le penseur constamment occupé par la demande d'un désir a créé l'impossible gadget pour le plaisir d'un sens de sécurité exponentiellement en demande. Autant l'esprit est constamment occupé d'animation, toujours pris par le remue-ménage de toute l'activité stockée dans la mémoire, il ne connaît pas le répit. Le calme, est quelque chose d'étrange à l'esprit occupé, il l'appréhende comme l'avertissement d'ennuyeux moments, où il trouve une terrible détresse dans un état de solitude. Craignant cela il lui faut tout faire pour que l'activité de la pensée bat son plein, une nécessité pour ne pas rencontrer le vide béant et s'apercevoir que machinalement l'esprit est pris dans des habituelles rengaines, où le sens de la vie reste incertain. Il y a mortification devant l'angoisse qui montre son nez devant ce vide de la solitude.
Alors, une fin que le penseur n'envisage pas, c'est de ne plus être un penseur qui pense.
Mais devant l'incompréhensible ou l'invisible, leurs réalités ne se perçoivent pas par le raisonnement ou par l'imagination, l'outil qu'est la pensée à sa limite, et reste ainsi dans la zone qu'il connaît c'est-à-dire le filtre de la mémoire.
Toutes pensées se manifestent physiquement en ce monde que nous côtoyons. Le penseur est ainsi forgé par sa propre fabrication, sans cesse obnubilé, intéressé, animé, isolé, soumis et rebelle. Il choisit, résiste, compare et critique. Toujours l’affût, tourmenté par l'assouvissement de ses désirs. L'homme ne connaît que très rarement la clairière ensoleillée souvent trop occupé à retirer les ronces de sa route il n'apprécie pas les clairières, car même en ses lieux il pense à son activité de défricheur.
Il est nécessaire de voir de quoi nous sommes fondamentalement faits. Cet être peureux si peu connu, se réfugiant de l'angoisse du nouveau, en restant dans les habitudes. S'attachant à les répéter, car il trouve là du confort et ne veut donc pas s'aventurer hors des concepts rassurant. Souffrant de dépendance pour de l'affection, du réconfort et de la reconnaissance. Trouvant de l'assurance dans le contrôle en dirigeant les choses comme elles devraient être. Tous ces attraits sont les réactions qui proviennent de la mémoire du penseur qui est lui-même la sommes des expériences acquissent qu'il défend, car elles lui donnent de l'identité, c'est-à-dire de l'importance, MOI/JE.
La trame psychologique qui forme le mouvement de la conscience de l'humanité n'est pas différent de ce qui se passe en chacun de nous, c'est la même substance qui influx l'anatomie psychique par laquelle les réactions quotidiennes arrivent. Ce bavardage intérieur a un lien commun, dépassant l'illusion de frontières individuelles.
L'individu lui, souiller par de l'accumulation de toutes sortes de théories sur l'incommensurable, a idéalisé les frontières de ses capacités, étant désespéré en rasant ses limites, il crée de toutes pièces un au-delà de son incertitude, en quelque chose de rassurant, qui égaillerait l'activité de ses pensées dans son quotidien.
Cette propagande est la stratégie de la pensée qui gouverne alors le monde, supercherie qui allèche les babines où satisfaction immédiate est attendue, mais que la soif ne trouve guerre d'assouvissement.
Marathon de désir langoureux vers une récompense amère de condition... Vois cela ! car courir à perdre haleine, laisse sur tes pas l'odeur de la mort, terrible déception. La joie s'en est allée, désertant les lieux où travaille dans l'ombre la pensée du penseur cherchant du substitut, seul le plaisir lui reste fidèle dont se gave la satisfaction éphémère. 
Crois-tu que, voir le ravage que crée la pensée mettra l'infâme sur ses gardes ?
Il y a certitude qu'il se berce lui-même de promesse, il  activera des forums d'actions  pour parvenir à résoudre les problèmes que la solution a 
engendrés, dans des débats ou abonde l'odeur de l'hypocrisie que personne ne voudrait dénoncer pour être mis au rebut et qui indubitablement dans l'insouciance de tous enfantent la haine et la souffrance.
Dans ce raffut de la pensée le silence ne peut être perceptible, car l'activité de la pensée de l'homme est sur son trône décrétant son importance capitale. Et dans tout ce brouhaha sournois, on distingue les couleurs de la souffrance qui monte jusqu'aux cieux de ceux-là qui ont la compassion, pour qui l'action ne répond plus à la pensée qui provoque l'irréversible effet de drame.
Dans toute la mémoire se trouvent les drames de la vie, que 
la pensée ramène en surface pour y faire joujou, mais le penseur ne sait pas voir le danger de son action sur la joie qui alors se meure dans l'activité d'explorer des lendemains à trouver du meilleur répit.
Mais le coffre de la mémoire ne peut être le facteur du renouveau et de la découverte de l'inconnue, elle est limitée de par son déploiement par la  compréhension restreinte de son  contenue. Faire leurrer un état subliminal est son dessein, installer le mensonge, cette substance qui n'existe pas, l'espoir qui n'est que le fruit de l'imaginaire.

Au-delà de notre raisonnement habituel, au-delà des perceptions  connues, quand nous voulons bien confronter les barrières de la crainte et laisser derrière nous le connu rassurant, se trouve une liberté qui révolutionnera les bases même sur lesquelles s’appuie l’humanité.

 La liberté de l'esprit (part 2)http://guyrogerzonelibre.blogspot.com/2013_06_01_archive.html

La pensée du jour