Ne rien faire pour changer ce qui advient, s'avère
être la position à prendre pour que l'ordre s'installe en soi. Mais voilà,
personne ne côtoie cette option, parce qu'il y a le désir de mettre en place la
logique de ses propres conclusions, jamais elles ne laissent la vie faire. Arrogant,
nous pensons que nos idées sont la solution, aussi le chaos qui s’installe est
renier et la pensée positive est inventé pour excuser la dualité.
Le blog de ceux qui se posent des questions fondamentales sur l'existence, à savoir s'il y a une issue à la médiocrité humaine et quelle est la responsabilité de chacun d'entre nous.
lundi 14 juillet 2014
samedi 12 juillet 2014
Au-delà de l'illusion
Croire être ce que l'on n'est pas, c'est se mentir à soi. Le mensonge est un
fléau qui fait son chemin, sans considérer l'harmonie des relations, malheur à
celui qui le cultive, car son cœur sera rongé comme un cancer ... vérifie si la
légèreté de ton cœur subsiste après l'avoir côtoyé.
En faisant face aux ruines laissées derrière elle, si ton cœur est touché par l'absurdité de sa tromperie, avant de reconstruire, vois les raisons de tes actes avec lesquels tu dissimules ta sincérité. Tu verras que c'est ton envie de fuir devant le vide qui provoque cet état. Celui-là attise ton désir à l'action de le combler. Arêtes-toi ! Vois la douleur en toi qui t'accapare et l'envie que tu as de t'en débarrasser, reste là à ses côtés pour entendre ce qu'elle a à te dire. Observe comment elle déambule, sois attentif à ne pas la juger, la laissant être, autrement, ton attention sera détournée de la réalité qui se révèle à toi. C'est ta nature, apprend à te connaitre.
Cependant, habituellement l'activité de tes pensées est à l'affût devant ce vide immense pour trouver du répit à l'angoisse de la solitude. Une angoisse captivante, qui te donne une raison de chercher des moyens pour atténuer son impact sur ta vie, celle que tu mènes à vouloir le fuir. Ainsi ce vide, auquel tu n'as jamais osé faire face et jamais vraiment observé, est ta source de l'angoisse tapis dans l'ombre où l'acte de s'attacher au monde que tu connais te rassure.
Ce monde, fabriqué à l'image de l'homme représente ce que tu es, tu as puisé de lui ton identité, d'où vient la cause d'avoir oublié ta vraie nature.
Cet état de dualité entre vouloir être et être, ne cessera que si tu vois que la fuite ne peut être la solution. De toute évidence, doit cesser toute l'activité de la pensée pour que tu sois en paix, pour qu'au calme, tu réalises, que toutes les activités de ce que tu prêtant faire pour être considéré, est la source de tes souffrances pour ne pas accepter d'être toi-même.
L'évasion, cette réaction qui accepte les promesses de l'illusion, au lieu de la vérité de ce que tu es, est un programme de la pensée qui se réfugie dans des inventions de l'idéale qui réconforte devant l'angoisse de l'inconnu. Mais ce ne sont que des mensonges sophistiqués qui agrémentent la satisfaction de ne pas être face à soi-même. Alors, en apprenant à observer les mécanismes de ta conscience sans fuir, à rester avec le vide, le rien que tu es, cette énergie qui n'appartient pas au connu, est porteur de sagesse.
Car pour avoir eu un vécu à se faire croire être quelque chose, l'esprit s'en est rendu dépendant, en conséquence ta peur est maintenant de ne pas arriver à être ce qui est attendu de toi. D'autant plus que, le monde soutient l'image que tu as choisie d'adopter, il te la rappellera constamment en réfléchissant ce que tu es dans son miroir.
C'est dans ce bourbier marécageux que la vie se mène derrière les barreaux du mensonge qui spécule sur la véritable vie, pour instaurer comment elle devrait être dans le monde où la réalité se fuit. Il y a là, toutes les règles que l'on s'est donné pour contribuer à refuser le rien que l'on est, en quelque chose d'important et reconnu.
Maintenant que tu as compris cette vie fallacieuse, qu'elle cache la vérité aux cœurs de l'homme, qu'une propagande de mensonge a été déversé afin que tu ne t'aperçoives pas que tu peux être libre et être toi-même... veille, sois attentive à tout, n'accepte rien, doute de tout afin de déjouer les modes habituels rusés de l'illusions.
En faisant face aux ruines laissées derrière elle, si ton cœur est touché par l'absurdité de sa tromperie, avant de reconstruire, vois les raisons de tes actes avec lesquels tu dissimules ta sincérité. Tu verras que c'est ton envie de fuir devant le vide qui provoque cet état. Celui-là attise ton désir à l'action de le combler. Arêtes-toi ! Vois la douleur en toi qui t'accapare et l'envie que tu as de t'en débarrasser, reste là à ses côtés pour entendre ce qu'elle a à te dire. Observe comment elle déambule, sois attentif à ne pas la juger, la laissant être, autrement, ton attention sera détournée de la réalité qui se révèle à toi. C'est ta nature, apprend à te connaitre.
Cependant, habituellement l'activité de tes pensées est à l'affût devant ce vide immense pour trouver du répit à l'angoisse de la solitude. Une angoisse captivante, qui te donne une raison de chercher des moyens pour atténuer son impact sur ta vie, celle que tu mènes à vouloir le fuir. Ainsi ce vide, auquel tu n'as jamais osé faire face et jamais vraiment observé, est ta source de l'angoisse tapis dans l'ombre où l'acte de s'attacher au monde que tu connais te rassure.
Ce monde, fabriqué à l'image de l'homme représente ce que tu es, tu as puisé de lui ton identité, d'où vient la cause d'avoir oublié ta vraie nature.
Cet état de dualité entre vouloir être et être, ne cessera que si tu vois que la fuite ne peut être la solution. De toute évidence, doit cesser toute l'activité de la pensée pour que tu sois en paix, pour qu'au calme, tu réalises, que toutes les activités de ce que tu prêtant faire pour être considéré, est la source de tes souffrances pour ne pas accepter d'être toi-même.
L'évasion, cette réaction qui accepte les promesses de l'illusion, au lieu de la vérité de ce que tu es, est un programme de la pensée qui se réfugie dans des inventions de l'idéale qui réconforte devant l'angoisse de l'inconnu. Mais ce ne sont que des mensonges sophistiqués qui agrémentent la satisfaction de ne pas être face à soi-même. Alors, en apprenant à observer les mécanismes de ta conscience sans fuir, à rester avec le vide, le rien que tu es, cette énergie qui n'appartient pas au connu, est porteur de sagesse.
Car pour avoir eu un vécu à se faire croire être quelque chose, l'esprit s'en est rendu dépendant, en conséquence ta peur est maintenant de ne pas arriver à être ce qui est attendu de toi. D'autant plus que, le monde soutient l'image que tu as choisie d'adopter, il te la rappellera constamment en réfléchissant ce que tu es dans son miroir.
C'est dans ce bourbier marécageux que la vie se mène derrière les barreaux du mensonge qui spécule sur la véritable vie, pour instaurer comment elle devrait être dans le monde où la réalité se fuit. Il y a là, toutes les règles que l'on s'est donné pour contribuer à refuser le rien que l'on est, en quelque chose d'important et reconnu.
Maintenant que tu as compris cette vie fallacieuse, qu'elle cache la vérité aux cœurs de l'homme, qu'une propagande de mensonge a été déversé afin que tu ne t'aperçoives pas que tu peux être libre et être toi-même... veille, sois attentive à tout, n'accepte rien, doute de tout afin de déjouer les modes habituels rusés de l'illusions.
vendredi 11 juillet 2014
Etre où ne pas être
Au-delà de tout ce qui se dit, tu n'es
pas celui que tu crois être, ni celui que l'on dit de toi être. Tu es ce que tu
es, sans être ce que tu es d'habitude. Tu es néant ; si tu es quelque chose
d'autre que cela, tu n'existes pas, il y a illusion. Tu es tout et rien, sans
nom pour être situé sur l'échelle du cosmos. Tel est ta vraie nature d'être,
indissociable à un tout.
Dans la quête de l'identification, tous
les prétentieux font fausse route à vouloir être reconnus, car l'image qu'ils
se donnent n'est qu'une invention de leur propre désir à vouloir exister, ayant
peur de n'être rien. D'où la place du rien occupé par l'ego, le
"moi", les pensées, qui ne sont que les activités du temps qui passe,
impliquant l'angoisse que cela prenne fin. Alors que la vraie nature que tu es,
n'a ni commencement ni fin.
jeudi 10 juillet 2014
mercredi 9 juillet 2014
mardi 8 juillet 2014
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