Etre chose importante,
c'est accepter de croire que nous, homme créature de dieu est supérieur aux
autres créatures (arbre, animaux...)Par notre intelligence, nous vivons pour
une vraie vie universelle. Nous savons que si nous sommes à l'image de dieu; nous
ne seront jamais dieu. Aucun homme sur cette terre n'a , n'est, et ne sera
"DIEU".L'image d'une montagne, n'est pas MONTAGNE,, l'image d'un
arbre n'est pas L 'ARBRE. Une citation amérindienne" Considère chaque
chose pour ce qu'elle est. Respecte toute vie, dégage ton cœur de l'ignorance,
ne tue pas et ne nourris pas de pensées coléreuses" Oui, sachons que nous
sommes important , que pour nous même.
-À mon observation
personnelle, l'affirmation d'être à l’image de Dieu ou pas, où se définir comme
étant Dieu, est en lui-même une fabrication de l'ego qui veut exister en tant
que quelque chose à être. Il y a cette tendance chez nous les hommes à vouloir
exister à tout prix au regard des autres, se définir une apparence pour être
reconnue dans l'image que l'on se fait de soi-même, la plupart jouent le rôle
de comment il pense devoir être afin d'être accueilli par son environnement.
Mais il est d'autant plus difficile quand il s'agit de s'accepter soi-même,
quand ce qui prône nos pensées, est de se rendre conforme à ce que nous avons
toujours entendu dire à travers l'histoire de nos éducations , nos cultures,
qu'elle soit judéo-chrétienne, bouddhiste islamiste, hindouistes, etc., ils
nous ont tous appris, comment la vie que nous vivons devrait être pour
atteindre le nirvana ou la félicité. La vie qu'il y a à vivre, selon l'image
d'un Dieu, bon, gentil, aimant, non égoïste, etc.
Mais le regard intérieur, de ce que l'on est véritablement, demande une sincérité sans compromis pour comprendre nos croyances, nos tendances et nos désirs pour un Dieu qui soit le contraire de ce que nous sommes capables d'être. Nous nous cachons à nous-mêmes notre vrai visage et donnons l'image de ce que nous aimerions être, mais l'image comme tu dis n'est pas une réalité en soi. Se connaitre et s'accepter tel que l'on est, c'est cela sortir de l'ignorance ; tout simplement parce que, voir son propre conditionnement, rend capable de voir ce que nous ne sommes pas et ce que nous prétendons être. Nous sommes le produit de toute la mémoire de l'espèce humaine, l'histoire de toutes ses conclusions, ses règles, ses traditions , ses croyances et ses tabous. Le monde intérieur dans lequel le "moi/je" se meut à exister est l'héritage de la mémoire de comment la vie devrait être selon l'expérience de l'humanité.
Mais le regard intérieur, de ce que l'on est véritablement, demande une sincérité sans compromis pour comprendre nos croyances, nos tendances et nos désirs pour un Dieu qui soit le contraire de ce que nous sommes capables d'être. Nous nous cachons à nous-mêmes notre vrai visage et donnons l'image de ce que nous aimerions être, mais l'image comme tu dis n'est pas une réalité en soi. Se connaitre et s'accepter tel que l'on est, c'est cela sortir de l'ignorance ; tout simplement parce que, voir son propre conditionnement, rend capable de voir ce que nous ne sommes pas et ce que nous prétendons être. Nous sommes le produit de toute la mémoire de l'espèce humaine, l'histoire de toutes ses conclusions, ses règles, ses traditions , ses croyances et ses tabous. Le monde intérieur dans lequel le "moi/je" se meut à exister est l'héritage de la mémoire de comment la vie devrait être selon l'expérience de l'humanité.
Au-delà de toute la mémoire il y a
l'inconnue et de tous les temps, au travers les
civilisations se sont extirpé des
hommes qui ont voulu percer le mystère de la vie, savoir si au-delà de ce
qu'ils sont, au-delà de la perception de leur quotidien, il y aurait une autre
dimension, une perception toute nouvelle qui ne soit pas faussée par la
connaissance de leur expérience du connu. Ses gens nous laissent des traces
d'une évidence dans leur sillon, que pour explorer cet inconnu il nous faut
être libre de toutes connaissances, de toutes conclusions, de toutes croyances
et de toutes les peurs qu'il y a à quitter ces repères bien confortables. Celui
qui prendra cette voie où se démantèlent toutes
cristallisations du passé, va s'apercevoir que la réalité de ce monde est une
vérité qui dérange les bases même de tout ce que l'on peut penser, car nos
pensées qui apportent nos imaginations font partir de la mémoire et en elle
rien ne peut être neuf, c'est l'entrepôt
du passé limité à elle-même.
la perception du neuf, ne peut être que si le silence de tout le brouhaha de la pensée se fait, une importance capitale pour que l'harmonie s'installe au sein de soi-même. A partir de là, il y aura la liberté capable d'explorer un royaume hors du temps.
Considère toi-même pour ce que tu es, ne juges pas ce qui se profile, ne fuit pas ce que tu vois, ne fait rien pour arrêter de voir ce que tu vois, ne laisse pas la connaissance te dire ce que tu devrais être. Cette observation silencieuse sans parti pris est la transformation du désordre vers l'ordre.
la perception du neuf, ne peut être que si le silence de tout le brouhaha de la pensée se fait, une importance capitale pour que l'harmonie s'installe au sein de soi-même. A partir de là, il y aura la liberté capable d'explorer un royaume hors du temps.
Considère toi-même pour ce que tu es, ne juges pas ce qui se profile, ne fuit pas ce que tu vois, ne fait rien pour arrêter de voir ce que tu vois, ne laisse pas la connaissance te dire ce que tu devrais être. Cette observation silencieuse sans parti pris est la transformation du désordre vers l'ordre.
Mais étant donné que nous nous sommes divisé dans nos comportements individuels, occupé à diviser pour réaliser le monde en couple, en groupe, en pays, en nation. Alors nous avons l'impression qu'il faut être important dans la rivalité qui excelle, mais là c'est encore l'ego qui produit de l'illusion.
Rien n'existe à par l'union d'un amour qui nous unit, le reste , n’est que de l’inventons pour paraitre dans l’existence, alors que pour existé il faut vivre.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
posez ici vos commentaires