mardi 14 janvier 2014

Une quenelle à tout le système en soi

La quenelle est le franc parlé de la démocratie, qui dérange le complot de la racaille totalitaire. La réaction est évidente, museler aux plus vite les paroles qui mettent en danger la pérennité de leurs complots d'intérêts. C'est le coup de bâton sur le nid de guêpes, il n'y a pas besoin de sortir des écoles pour observer leur stratégie. Depuis déjà longtemps et sournoisement les libertés sont bafouées, à l'insu de tous ceux qui ont espéré pouvoir retirer quelque chose des promesses de ses renards. Les combattre en ferait tomber quelques-uns , mais les enjeux sont profondément enterrés dans un réseau de terrier, il est trop tard pour ceux-là, ils sont condamnés à leurs activités de destruction. Ils sont prêts à mourir à la cause de ce qu'ils croient être la vérité.

Mais il y a un espoir, parce que le franc parlé de la quenelle, nous concerne tous, par son infiltration dans les milieux où la rencontre se fait avec les esprits qui prennent les vessies pour des lanternes. Elle fait surgir ce que tout le monde veut se cacher, la réalité. Malheureusement dans l'état actuel des choses les mensonges des renards prévalent sur ce que la réalité s'annonce d'être
Mais, moi, j'invite à chacun d'entre nous, à nous la mettre aussi cette quenelle pour voir où est-ce qu'on en est.
voir si toutes nos actions son aguerrie de malhonnête.
voir si nous sommes aussi capables de nous mentir à nous-mêmes et ensuite à nos semblables.
voir si quelque part, nous aussi, nous ne contribuons pas à la dérive de notre humanité.
voir si des réactions impulsives à comploter sur nos propres intérêts ne sont pas présentes en nous.
Ne sommes-nous pas près aussi, à cacher nos mensonges dans des terriers pour ne pas être débusqués.

la société extérieure est faite de ce que nous sommes chacun intérieurement et tant que le mal est vu à l'extérieur de nous, facile à accuser, facile à ne pas se sentir responsables. Alors, toutes les actions entreprises sur la condition de ce qui se passe dans le monde sera une peine perdue
Si nous sommes capables de révolution intérieure, pour abandonner nos haines et les belles apparences qui font de nous un peu plus que l'autre, le monde serait un paradis. Alors, nous n'aurons pas à nous adonner à des contorsions de l'esprit pour espérer qu'un quelconque Dieu pourrait venir nous sauver, nous sommes les seules à nous sortir de cette hideuse merde


Au nom d’une véritable vie pour soi,  pour que  l'unité, la fraternité et la liberté, existent pour tous,  ne donnons pas notre énergie à nourrir les pensées des renards, sans notre consentement, ils sont mort.

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