vendredi 1 novembre 2013

Extrait de :Conscience d'un monde parallèle de Guy ROGER prochainement dans vos librairies

Un jour en marchant sur la plage, un homme trouva parmi tous les petits cailloux, un qui sortait du lot, il était tellement beau, qu'il a voulu le garder, il le mit donc dans sa poche et continua sa promenade. Quand il arriva chez lui, il regarda à nouveau le petit caillou, à ses yeux il y avait là une grande beauté et comme il l'aimait bien, il le plaça au dessus de la cheminée pour être mieux  apprécier et tous les jours en le regardant il fini par s'y attacher de plus en plus.
Alors, le petit caillou était devenu au fil du temps, l'objet d'une grande importance et toute la famille qui s'y attacha à son tour, ce fétiche fut souvent le centre d'attraction pour ceux qui passaient par là. Au moment de sa mort, le père légua le caillou à son fils bien-aimé, qui fit à celui-ci la promesse de le garder précieusement au nom de sa mémoire. Le fils fidèle au souvenir de son père, instaura aussi chez ses enfants l'attachement à la pierre, un héritage qui se propagea à travers les générations suivantes, trouvant sa cause à travers l’importance d'un petit caillou banal, trouvé sur une plage. Alors que le caillou était devenu une partie d'eux-mêmes, inscrit à la génétique de toute la descendance, on pouvait constater la tendance chez ceux-là à être attirés dans les métiers lier à la pierre et même leur non en était imprégné de cette histoire.
Personne ne savait plus l'origine de leur envie, mais la tradition était là maintenant, un réseau neuronal s'est tissé à travers le temps, pour que tout perdure de la même manière et personne n'osait briser la chaîne d'un amour inexplicable. Au fond d'eux ils ont gardé toutes les pensées prescrites depuis sa genèse, l'histoire d'un homme qui avait été attaché à ce qu'il avait chéri dont tous les autres ont été fidèles à garder par amour les histoire du passé. C'est là, l'histoire de la pensée génétique qui influence l'évolution des personnages, leurs tendances et toutes les conditions physiologiques qui transportent l'hérédité. Un tel État de statu quo est la mort assurée de l'authentique soi, car pour être vrais, l'authentique doit être libre de tout attachement aux souvenirs du passé et  sans aucun recourt à s’identifier, afin d'exister que par les faits de ce qui existe au moment où se vie la vie.
Les chaînes doivent être brisées et les peurs défier de leurs illusions. Un balayage complet et radical doit être l'action, pour reprendre possession de toutes les innombrables capacités qu'il y a dans le fait d'être vrai, purifier de ses attachements.
Ce que nos parents et nos grands-parents ont pensé pour fabriquer leur mode de vie, ne nous concerne pas, car les vérités d'hier cristalliser dans les concepts et les dogmes, font partie des cendres du passé. La vérité est à découvrir au moment où les battements du cœur se font au sein de soi-même, à chaque instant de la vie quotidienne et cela n'a rien à voir avec les histoires de règles qui épousent  des normes prescrites  qui arrivent à travers les générations et qui incitent à l'obéissance, cela a pour seul  conséquence, la création des copies de vies avec des schémas tout préparé, dépourvu du souffle vivant de la vie qui siège dans l’instant pressent.

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